mardi 05 juillet 2016

Stationnement temporaire des camions lourds à Sorel-Tracy
Une solution est trouvée !
Par Stéphane Martin


Photo : Geneviève Gamache

Les nombreuses plaintes des citoyens auront fait bouger la Ville de Sorel-Tracy afin de trouver une solution au problème de stationnement temporaire des camions lourds dans les rues de la ville.

Rappelons qu’en raison des travaux de rénovation au quai no.2, les véhicules lourds de la compagnie Richardson n’ont plus de place où se stationner pour attendre leur tour en période de pointe.

La situation a engendré énormément de frustration chez les citoyens, dont certains propriétaires d’entreprises. La femme d’affaires Geneviève Gamache s’est retrouvée plus souvent qu’à son tour avec des camions empêchant la clientèle d’Éklat Vitrail de se rendre au commerce. Insatisfaite des réponses de la Ville, Madame Gamache a entamé une pétition afin de régler rapidement la situation.

Lundi soir en séance du conseil, le maire Serge Péloquin a mentionné qu’une solution a été trouvée. Les camions lourds iront attendre au terrain vague en face du CIT sur le Boulevard Poliquin.

Ce terrain appartient à la Ville, selon le maire, il faudra patienter encore quelques jours avant que les camions lourds puissent aller sur les lieux. « D’abord Richardson doit installer un système de communication et des travaux devront être faits afin d’agrandir l’entrée, mais c’est une question de jours », mentionne Monsieur Péloquin.

Bâtiment démoli

Également lors de cette séance du conseil, la Ville a adopté une résolution afin de démolir une station-service fermée depuis 23 ans au 413, Boulevard Fiset. Un mandat est ainsi donné à maître Jérôme Frappier de prendre les mesures nécessaires afin d’obtenir une ordonnance de démolition et d’exécution de travaux.

Le Marché Richelieu et le groupe Patrimoine collectif

Maxime Caplette (ci-haut) qui représente le groupe Patrimoine collectif de Sorel-Tracy a reçu une fin de non-recevoir de la part du conseil municipal dans sa demande de conserver l’intégralité architecturale du bâtiment.

Le groupe aurait souhaité conserver la brique et la fenestration que l’on retrouve actuellement, mais les devis acceptés par la ville ne tiennent pas compte de cet aspect. « Vous oubliez toujours le règlement d’emprunt dans votre demande. Il y a eu un référendum et il a été voté que les travaux se feront sans une cenne de plus. Il y a un vote qui a été fait, on a voté un montant et on doit rénover avec ce montant-là », a expliqué le maire, Serge Péloquin.

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