mercredi 11 janvier 2017

La ville de Contrecoeur remet un chèque de 15 000 $ aux événements Diable au Coeur

Le 9 janvier 2017, le conseil municipal recevait lors de son assemblée publique, Mme Virginie St-Denis, présidente des Événements Diable au cœur afin de remettre un chèque de 15 000 $ à cet organisme à but non lucratif.

Cette aide financière de la Ville de Contrecœur servira à l’organisation des Diableries. La mairesse, Suzanne Dansereau tenait à rappeler que ce festival organisé sous le thème de la chasse-galerie existe depuis 12 ans et demeure une très belle initiative de bénévoles de Contrecœur; des personnes dynamiques déterminées à animer le milieu et fières de faire découvrir leur ville dans une ambiance de fête.

La mairesse de Contrecœur ajoute que la Ville est fière d’appuyer et de collaborer encore cette année à l’organisation des DIABLERIES qui s’avère le rendez-vous incontournable de l’été pour les familles de Contrecœur et de la région. Ce type d'événement, confirme Contrecœur comme une ville accueillante.

Les organisateurs entendent apporter plusieurs changements à l’édition 2017 qui se déroulera sur trois jours au lieu de deux. La programmation, dévoilée au début de l’été, permettra à la population et aux visiteurs de découvrir toutes les activités et les spectacles endiablés proposés par le comité. Pour réaliser cette 12e édition, les bénévoles devront compter sur l’appui de plusieurs citoyens corporatifs, sans eux, un tel événement ne pourrait avoir lieu.

La Ville a également mandaté deux conseillers municipaux, messieurs André Gosselin et Claude Bérard pour assister aux réunions du comité organisateur des Diableries.

Vous le savez sans doute, la fête des Diableries tire son origine de la légende de la chasse-galerie. C’est un thème très approprié, puisque c’est ici que s’est déroulée la vraie légende d’Honoré Beaugrand qui raconte l’aventure de bûcherons ayant fait un pacte avec le Diable dans l’espoir de passer la soirée du jour de l’An avec leur femme. C’est à Contrecœur, que le canot volant des bûcherons aurait accroché le clocher de l’église…

D’abord, ils se rendirent à Lavaltrie puis de l’autre côté du fleuve Saint-Laurent, chez Jean-Baptiste Auger, surnommé Baptisset, à la Petite-Misère, en bas de Contrecœur. Pour eux, une éternité en enfer valait bien un seul instant de magie, d’amour et de rigodon. On dénombre près de 300 versions de cette légende populaire, mais celle publiée pour la première fois le 31 décembre 1891 dans le journal La Patrie sous la plume d’Honoré Beaugrand, est sans contredit la version officielle.

Ville de Contrecœur

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