Décadence alimentaire...

C’est si bon, de temps à autre. Ça réconforte, ça titille le plaisir et, par le fait même, le moral, à moins bien sûr, de restrictions dues à des  problèmes de santé.

Sous l’impitoyable froid hivernal, ne s’avère-t-il pas réconfortant de tartiner les rôties de caramel onctueux, de chocolat aux noisettes, sinon, de garnir de sirop d’érable un yogourt onctueux…?

Prendre le thé en le rehaussant de fins sablés au beurre, d’un carré de fudge onctueux ou de gâteau nappé de crème, suscite immanquablement une bouffée de plaisir, source de mieux-être instantané.

Nul ne se trouve à l’abri d’un son irrésistiblement croquant. S’agit-il de céleri, de craquelins ou de céréales? Sand doute. Mais l’appel vers les croustilles aux saveurs et aux textures les plus inusitées viennent à bout de la ferme volonté de les éviter.

Les bonnes intentions ne se dissolvent pas avec ces petits coups de décadence.

Mais, se les interdire formellement ne peut que renforcer l’envie d’y accéder.

Et, généralement, la gourmandise s’en trouve accrue parce que défendue.

Sucré? Salé? Pourquoi pas les deux en même temps!

Se faire plaisir ne signifie nullement s’empiffrer.

Admettons aussi que la froidure nous incite à consommer des aliments plus calorifiques.

CADEAUX DU CŒUR

Temps des fêtes… Tempêtes…froids…, réels ou au figuré… Voici qu’arrive une période de l’année qui se fait source d’excitation, d’émotion et de réjouissance. Malheureusement, elle  entraîne également son cortège de nostalgie et de tristesse.

Nous pouvons être créateurs de joie et de plaisir; il n’en tient qu’à nous.

Bien au-delà des cadeaux de valeur matérielle, figurent ceux qui amalgament amour et entraide: du temps de gardiennage auprès d’enfants ou de personnes malades, des petits plats ou des douceurs préparées avec une attention particulière, des retrouvailles organisées en toute convivialité et combien d’autres gestes qui réchauffent le cœur.

Les suggestions de cadeaux foisonnent si l’on désire les ajouter aux gestes d’amour et d’entraide.

Cependant, donner de son cœur demande une denrée rare; du temps.

Joyeux TEMPS des fêtes!

ÉVASION SUR PLACE

Les pauses brèves mais fréquentes permettent de libérer un surplus de tension et améliorent la concentration. Il semble que 5 minutes à chaque heure soit idéal. Cette pratique prévient peut-être le fameux « coup de barre » qui donne la sensation d’être vidé de son énergie.

Mais encore, fait-il être dans un milieu de travail qui rend possible cette remise en forme. Minimalement, de simples étirements et élongations contribuent à relaxer temporairement les muscles. Se remémorer en même temps un heureux souvenir de voyage ajoute à cette évasion éclair.

Il existe tellement de façons de se faire du bien, de petit à grand geste!

Bonne pause!

 

 
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