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La série FORMULA
1 de Netflix...,
surprenante !
Au moment où
j'allais «
tirer la plug »
de mon
abonnement
Netflix, voilà
qu'en fin de
semaine je vois
apparaitre la
nouvelle série
de 10 épisodes
FORMULA 1
(Pilotes de
leur destin),
en français,
parfait pour des
gars comme moi
qui ne sont pas
des experts de
la langue
anglaise.
On
dit que la F1 se
veut en mode
séduction avec
cette nouvelle
série. Eh bien,
c'est réussi
parce que c'est
très
intéressant. Ce
sont plusieurs
petites
histoires vues
de l'intérieur
racontées par
les pilotes, les
patrons
d'écuries et
leurs proches.
Il y a des
rivalités aussi,
oh la la !
Mais surtout des
images inédites
; de courses,
d'accidents, de
stress, de "babounes",
de la pression,
des malaises en
conférence de
presse, etc.
On y voit aussi
des visages
comme de Zak
Brown (directeur
exécutif de
McLaren) et de
Christian Horner
(directeur de
l'équipe Red
Bull), que
Pierre Houde et
Bertrand Houle
nous parlent
souvent lors des
reportages à RDS.
Bref, si vous
êtes un fan de
F1 comme moi,
vous devriez
aimer cette
série. J'en
suis à mi-chemin
de visionner
toute la série
et j'ai hâte de
voir les 5
suivantes.
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Satisfait du CH
!
Qu'ils fassent
les séries ou
non, je suis
satisfait de ce
que j'ai vu du
Canadien de
Montréal cette
saison.
Franchement, si
on compare à
l'an dernier,
c'est une nette
amélioration à
tout point de
vue. Les jeunes
attaquants du
Canadien nous en
ont mis plein la
vue, le jeu est
intéressant,
rapide,
l'exécution est
là, les attaques
se transforment
en chance de
marquer, les
joueurs
progressent dans
leur jeu,
l'équipe a une
chance de gagner
presque à chaque
rencontre.
Et je vais faire
plaisir à mon
ami Georges
Vézina en disant
qu'en plus,
Carey Price
connait une
belle saison, il
est bon.
Honnêtement, il
était temps.
Étrangement, il
s'est replacé
avec le retour
au jeu de Shea
Weber qui est
pour moi, l'un
des meilleurs
défenseurs de la
LNH. Tant mieux
pour Price, mais
surtout, tant
mieux pour nous.
Ce matin, les
hommes de Claude
Julien sont au
15e rang du
classement
général. La
semaine dernière
ils étaient 8e,
et je me demande
s'ils n'ont pas
été un peu plus
haut à un moment
donné cette
saison. Juste
vous rappelez
que l'an dernier
ils ont terminé
28e. Quand
Même !
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LNAH : Un mot
d'ordre ?
Il devrait y
avoir un mot
d'ordre de la
part de la
direction de la
LNAH envers les
joueurs et le
personnel des
six équipes du
circuit.
« Quand le match
est terminé, on
retraite au
vestiaire sans
jamais s'arrêter
en chemin ! »
Encore vendredi,
après la
rencontre, lors
du retrait au
vestiaire des
Marquis de
Jonquière, des
joueurs se sont
arrêtés en
chemin pour
répondre aux
insultes de
partisans, ce
qui a eu pour
effet de
dégénérer en
débordements.
 N'allez pas
croire que cela
n'arrive qu'à un
seul endroit,
c'est faux. Je
peux vous en
raconter des
dizaines
d'occasions,
partout au
Québec, en 19
ans de
couverture de la LNAH.
Après un match
émotif, le long
chemin au
vestiaire pour
l'équipe
visiteuse ne
dure en fait que
5 secondes. 5
secondes
d'enfer,
peut-être, mais
5 secondes quand
même.
Quand je jouais
Junior, ma
sortie du Centre
Mario-Gosselin à
Thetford se
faisait au
travers d'une
couple de «
Mon tabar.... »,
suivi d'une
forte odeur de
houblon sur mon
chandail. C'est
mieux que de
perdre des dents
dans une bagarre
générale dans
les gradins,
alors que ça
peut venir de
tous bords, tous
côtés.
C'est facile
aussi de mettre
tout ça sur le
dos de la
sécurité, mais
ce n'est pas non
plus à cause
qu'on débourse
15$ pour
assister à une
partie de hockey
qu'on a le droit
de tout faire
dans un aréna.
Ça aussi
c'est Faux !
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