jeudi 19 octobre 2017
Candidat au
poste de maire à Sorel-Tracy
Réaction de
Marcel Robert concernant les
engagements de Serge Péloquin
« Serge Péloquin manque
complètement à ses engagements !
» -
Marcel Robert
Sorel-Tracy, mercredi le 18
octobre – En 2013, Serge Péloquin prenait dans son
programme électoral l’engagement
de mettre en place une
«
économie forte et réinventée ».
Il en faisait même sa première
priorité en précisant dans son
dépliant électoral vouloir :
«
Augmenter les projets de
construction ».
Pourtant l’an dernier, Serge
Péloquin a décidé que la Ville
de Sorel-Tracy ne ferait plus
partie d’un important effort
régional visant précisément
l’augmentation de la
construction résidentielle.
Depuis 2005, avec Marcel Robert
à la mairie, la Ville de
Sorel-Tracy a adhéré à un vaste
programme de promotion visant à
accélérer la construction
résidentielle. Appuyé largement
par des promoteurs immobiliers,
des entrepreneurs en
construction, des manufacturiers
locaux, ainsi que par le plus
important prêteur hypothécaire
la Caisse Desjardins Pierre-De
Saurel, ce programme a permis de
revitaliser cet important
secteur de l’économie soreloise
avec un total de 3400 unités
construites.
En effet, ce programme de
promotion
« ONCONSTRUIT.CA »,
a même réussi, à partir d’une
moyenne d’une cinquantaine de
mises en chantier en 2000 et
2001, soit en début de mandat de
Marcel Robert à la mairie, à
atteindre dix ans plus tard un
chiffre record de 478 mises en
chantier en 2011. Selon les
données publiées par la SCHL, et
malgré un ralentissement dans la
construction domiciliaire au
Québec, la ville de Sorel-Tracy
s’est positionnée en tête de
peloton durant toutes ces années
parmi les villes de 10 000 à 50
000 habitants.
Les tristes résultats de cette
surprenante décision de Serge
Péloquin se révèlent déjà selon
les données de la SCHL de
janvier à juin 2017. On constate
malheureusement une baisse de
64,5 % des mises en chantier
comparativement à l’année
dernière. En fait durant les six
premiers mois de l’année 2016,
on comptait 155 mises en
chantier comparativement à 50
mises en chantier pour les six
premiers mois de 2017.
La décision de Serge Péloquin
nous ramène à une triste période
de stagnation que la Ville de
Sorel-Tracy traversait au début
des années 2000. C’est peu dire
que d’affirmer que la ville a
reculé de plus de 15 ans avec
Serge Péloquin à la mairie, mais
c’est également, avec cette
décision sans aucune vision,
tout un secteur de notre
économie qui en souffre.
Source :
comité
électoral de Marcel Robert
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