mardi 26 septembre 2017
Réaction face
aux retards des travaux
« Le Marché
Richelieu; une saga entretenue
par Serge Péloquin » -
Marcel Robert
Sorel-Tracy, lundi le 25 octobre
- La restauration du Marché
Richelieu a connu ses parts de
mésaventures sous le mandat du
présent maire, Serge Péloquin.
C’est ce qui en témoigne les
faits suivants;
Lors
d’un référendum en octobre 2013,
le camp du OUI obtenait le feu
vert pour un emprunt de 1 400
000$ pour la réfection du Marché
Richelieu. La Ville de
Sorel-Tracy assumait moins du
cinquième de la facture totale
des travaux, le gouvernement du
Québec s’étant engagé à 65% de
celle-ci, c'est-à-dire 5,2
millions de dollars.
D’autre part, Ottawa octroyait
une subvention de 780 000$.
Réjean Dauplaise, maire à ce
moment, se disait « très très
satisfait » de l’issue du
vote.
Une campagne de levée de fonds,
menée de main de maître par
l’ancien député du compté de
Richelieu, Sylvain Simard, avait
pour objectif d’amasser plus de
300 000$. Elle fut atteinte
grâce à la générosité de la
population et des gens
d’affaires de Sorel-Tracy
démontrant ainsi l’importance de
garder ce monument patrimonial
dans la collectivité et le
paysage de la ville. En mai
2017 le conseil municipal
adoptait une résolution pour
dégager 200 000$ pour financer
les travaux supplémentaires
découlant de l’état de
décrépitude plus avancé du
bâtiment. Lors de cette
adoption, le maire actuel, Serge
Péloquin, affirmait « qu’il
fallait en finir avec ce projet
».
Quelques mois auparavant, lors
du premier appel d’offre, ce
même maire actuel, Serge
Péloquin, oubliait de mentionner
qu’il avait refusé une offre de
subvention de 200 000$
supplémentaire présentée par le
Ministère de la
Culture…..prétextant que la
ville ne mettrait pas plus
d’argent dans ce projet.
Hors avec la subvention de 200
000$ que garantissait le
Ministère à condition que la
ville en fasse de même fut omise
au conseil municipal. Jamais
celui-ci n’en a été informé.
C’est donc dire que si l’offre
avait été acceptée, le projet
aurait bénéficié de 200 000$
additionnel du gouvernement
étant donné que le maire actuel
a quand même octroyé une dépense
supplémentaire de 200 000$
quelques semaines plus tard.
Malgré les retards des travaux
et l’importance du dossier,
Serge Péloquin n’aurait assisté
qu’à 10% des rencontres
décisionnelles en quatre ans.
Cela démontre le peu
d’importance qu’il porte à la
réalisation d’un projet majeur
et largement appuyé par la
population. Refuser la
subvention a rendu les travaux
très difficiles pour tous les
intervenants, bénévoles et les
partenaires associés à la
réussite de ce projet.
Lorsque je serai élu à la mairie
de Sorel-Tracy le 5 novembre
prochain, je m’engage à réparer
les effets néfastes de ce manque
de considération et de vision
envers toutes ces entreprises et
tous ces travailleurs dont les
emplois sont tellement
nécessaires à la vitalité de
notre région.
Source :
Diane Robillard, Agente
officielle de Marcel Robert
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