Réjean
Dauplaise est prêt à surprendre
de nouveau
Par Stéphane Martin,
samedi 30 septembre 2017
C’est dans le confort de son
foyer, avec sa femme à ses
côtés, que Réjean Dauplaise
travaille sur sa campagne
électorale à la mairie de
Sorel-Tracy. Celui qui a occupé
cette fonction de 2009 à 2013
sollicite un autre mandat en
affirmant vouloir compléter une
multitude de dossiers sur
lesquels il planchait à
l’époque.
Une centaine de chemises étalées
sur des tables démontrent
l’ampleur du travail de
préparation effectué par Réjean
Dauplaise.
« Ce sont des notes
personnelles, des découpures de
journaux et plusieurs idées
accumulées au fil du temps.
C’est ça mon plan de travail et
je peux dire que je suis prêt à
reprendre le collier. Ça fait
plus de 30 ans que j’ai la
politique dans le sang et
j’aimerais bien continuer de
servir la communauté ».
Parmi ces priorités, le candidat
aimerait aller de l’avant avec
la continuité de la passerelle
entre le parc Regard sur le
fleuve et la Marina de
Sorel-Tracy. Il souhaiterait
également attirer des industries
dans la région et travailler à
l’implantation d’un complexe
sportif dans le secteur de Tracy
en partenariat public-privé.
« Je
sais comment m’y prendre, j’ai
tous les contacts nécessaires et
ça peut aller de l’avant
rapidement. Il y a aussi
certains secteurs près de
l’hôpital et même dans le
quartier où je demeure qui ont
encore de l’eau rouillée. C’est
inacceptable aujourd’hui et je
vais remédier rapidement à cette
situation », promet
Monsieur Dauplaise.
S’il a un reproche à faire à
l’administration sortante, c’est
de ne pas avoir été invité lors
d’inaugurations de certains
projets sur lesquels il avait
travaillé en tant que maire.
« Je
n’ai reçu aucune invitation pour
la Marina et la nouvelle prison.
Si ce n’avait été de Monsieur
Fafard, je n’aurais jamais
visité le parc éolien lors de sa
construction et c’est grâce à la
directrice du Marché Urbain que
j’ai pu assister à
l’inauguration de la vieille
gare. Je sais que Marcel Robert
a été oublié également sur
certains projets. Il s’agit d’un
manque de reconnaissance pour le
travail accompli par les
prédécesseurs de Monsieur
Péloquin ».
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