Maxime
Bernier venait aussi signifier
que la région est importante
pour le gouvernement
conservateur et monsieur Cartier
était très fier de cet appui. M.
Cartier a fait un bilan de
mi-parcours pour dire que sa
campagne va bien, qu’il mène une
campagne positive à l’écoute des
gens et de leurs besoins.
M. Bernier a profité de
l’occasion pour réitérer
l’importance de la gestion de
l’offre en agriculture et que
lorsqu’il a eu la chance d’être
Ministre des Affaires
étrangères, il a été à même de
participer et constater que le
gouvernement conservateur a
toujours démontré qu’il était le
protecteur de la gestion de
l’offre tant ici, qu’à
l’internationale.
M. Bernier a parlé des
objectifs du parti pour cette
campagne dont la priorité est le
contrôle du déficit et
l’économie. Il a aussi
tenu à rappeler que lors du
dernier débat télévisé la vraie
priorité du Bloc est clairement
apparue: «
M. Duceppe veut mettre la
question du référendum à
l’avant-scène de la campagne
fédérale, et comme vous le
savez, les Canadiens et
Québécois ne veulent pas de
référendum. Les gens veulent la
paix constitutionnelle; ils
veulent qu’on s’occupe de
l’économie, de l’avenir des
emplois. Nous sommes en pleine
reprise économique et il faut
que cette reprise économique
soit durable et si le passé est
garant de l’avenir c’est avec le
parti conservateur que cela peut
se faire. »
En réponse à une question
d’un média, M. Cartier en a
profité pour dire que M.
Plamondon n’a pas à chercher pas
trop loin pour trouver un
dossier où la région a passé à
côté et c’est dans le dossier de
l’école nationale de boxe. M.
Cartier disait :
« Ce
projet ne cadrait pas dans les
programmes normés et c’est là
qu’un député au pouvoir peut
faire avancer les choses. Dans
ce cas-ci, la région a manqué
d’un vrai porteur de dossier,
moi je serai là! ».
Le 2 mai, ce sera le temps
pour notre région de prendre sa
place, de prendre le pouvoir
avec Charles Cartier.
Réjean Bériault