Gilles Duceppe participera à une grande manifestation d’unité derrière le Parti Québécois, le 30 octobre prochain, à Sorel-Tracy

Sorel-Tracy, le 22 septembre 2011 - Le 30 octobre prochain, seize ans jour pour jour après le référendum de ’95 à l’issue duquel les Québécois sont passés à quelques voix près de se donner un pays, Gilles Duceppe conviera les Sorelois à poursuivre avec Pauline Marois le combat pour la liberté. Invité de Sylvain Simard et du PQ Richelieu, il participera, dès 10h le matin, à un grand brunch populaire au Restaurant Tracy dont l’un des thèmes centraux sera l’unité des troupes souverainistes.

« Il y a une unité très grande entre tous les fédéralistes, observe Gilles Duceppe. Je l'ai vue à Ottawa, au-delà de leurs différences sociales et économiques. Du côté souverainiste, c'est la faiblesse. Il y a deux grands partis clairement souverainistes, le Bloc et le Parti Québécois. Il faut s'unir pour mener le combat. » Un mot d’ordre repris par le président du PQ Richelieu, Marcel Fafard : « Le rêve de faire du Québec un pays, poursuit-il, c’est encore aujourd’hui celui de millions de Québécois qui assistent, impuissants, aux guerres fratricides d’égo et de stratégie que nous nous livrons. Or, pour réaliser un aussi grand rêve, la générosité et la confiance doivent être au rendez-vous. Il ne faut pas être là pour soi mais pour la cause.»

« Pauline Marois et Gilles Duceppe, conclut pour sa part Sylvain Simard, sont tous les deux des exemples de résilience et de courage qui doivent nous inspirer à nous dépasser et à nous unir derrière l’excellent programme de gouvernement qui a été adopté au congrès de juin, un programme ancré dans la volonté citoyenne de changement. Faire avancer le Québec sans demander la permission à Ottawa. Pas juste parler de liberté. La prendre! »

Pour participer au grand brunch populaire du 30 octobre prochain en compagnie de Gilles Duceppe, il suffit de réserver son couvert au coût de 5$ pour les membres et de 10$ pour les non-membres au 450-742-1550. Ce brunch sera immédiatement suivi de l’assemblée générale annuelle du Parti Québécois Richelieu.

Marcel Fafard