vendredi 27 avril 2012
Le Club
d'investisseurs sociaux
Pierre-De Saurel vous invite à
une causerie sur la spéculation
La spéculation,
qu'est-ce que c'est? C'est sous
ce thème d'actualité que le Club
d'investisseurs sociaux
Pierre-De Saurel organise sa
deuxième causerie publique avec
pour conférencier invité M.
Michel Nadeau, personnalité
médiatique du monde des finances
et de la gouvernance. La
causerie aura lieu le 30 avril
prochain à 18 h 30 au centre de
services du boulevard Poliquin
de la Caisse Desjardins
Pierre-De Saurel, au 385
boulevard Poliquin.
La récente crise financière et
la volatilité actuelle des
marchés financiers touchent de
plus en plus chaque citoyen du
Québec, du plus jeune au plus
âgé. Les risques associés aux
régimes de retraite offerts aux
employés par de nombreuses
entreprises reviennent
régulièrement à l'avant-scène
des différentes tribunes. Une
première constatation s'impose :
les gens, en investissant dans
des REER pour leur retraite,
sont de plus en plus dépendants
des résultats boursiers
incertains. La spéculation
boursière peut entraîner des
conséquences néfastes sur notre
épargne individuelle et
collective. Nous avons toutes
les raisons de nous inquiéter de
ces pratiques. Face à ce
problème de taille, on voit
émerger un besoin de créer de
nouvelles solidarités.
Comment protéger notre épargne
personnelle et nos fonds de
retraite?
Quelle conscience citoyenne
pouvons-nous développer?
Voilà les questions auxquelles
M. Michel Nadeau tentera de
répondre lors de la causerie. M.
Nadeau est directeur général de
l’Institut sur la gouvernance
d’organisations privées et
publiques. Il a occupé, durant
près de 20 ans, différentes
fonctions à la haute direction
de la Caisse de dépôt et de
placement du Québec. Expert
reconnu des questions
financières et de la gouvernance
d'entreprises, M. Nadeau est
régulièrement invité dans les
émissions d'informations
économiques. C'est avec le plus
grand plaisir que nous recevons
ce conférencier qui saura sans
doute nous sensibiliser à cette
question cruciale pour l'avenir
de nos fonds de retraite.
Jacques
Patenaude
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