vendredi 04 mars 2016

Sol Zanetti
réitère l’importance de mettre
fin à notre dépendance au
pétrole
Le chef d’Option
nationale souhaite que le Québec
se libère des énergies fossiles
en investissant dans les
énergies vertes et
l’électrification des
transports, tout en bloquant le
transport des sables bitumineux
sur le territoire et le fleuve.
Les citoyens de la
circonscription de Richelieu
comprennent les dangers
potentiels du transport du
pétrole, la mobilisation des
derniers mois le démontre.
Aucune technologie ne protège
totalement contre les risques
d’une catastrophe et jamais ce
ne sera possible d’atteindre un
risque nul. Devant un tel
constat, alors que le fleuve
Saint-Laurent alimente en eau
potable des millions de
Québécois et que le transport
terrestre, que ce soit par train
ou pipeline, est effectué près
de zones résidentielles ou
agricoles, il y a des meilleurs
choix à faire pour notre avenir
collectif.
Les quelques emplois reliés au
transport du pétrole ne
constituent pas un bénéfice
suffisant pour compenser les
risques environnementaux. « Nous
ne pouvons pas risquer de
polluer irrémédiablement le
fleuve Saint-Laurent ou les
terres agricoles de la vallée du
Saint-Laurent pour une poignée
d’emplois. Nous ne recevons
aucune redevance pour le
transport du pétrole sur notre
territoire, mais nous en
assumons tous les risques »,
souligne Sol Zanetti.
Pour chaque million de dollars
investis dans le pétrole des
sables bitumineux, deux emplois
sont créés. Le même
investissement permettrait de
créer environ une quinzaine
d’emplois dans les énergies
vertes. Les citoyens de
Richelieu pourraient bénéficier
grandement de ces
investissements créateurs
d’emplois de qualité.
« Le gouvernement d'Ottawa
utilise unilatéralement son
pouvoir pour favoriser le
développement économique de
l'Alberta au détriment de
l'économie, de la santé et de
l'environnement du Québec. La
mobilisation citoyenne peut
bloquer le transport du pétrole
temporairement, mais c’est
l’indépendance qui le fera à
long terme, tout en permettant
au Québec d’investir dans ses
secteurs stratégiques plutôt que
dans les énergies fossiles »,
affirme le chef d’Option
nationale.
Option
Nationale
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