
Élection
partielle du 9 mars
Sylvain Rochon
réclame un mandat fort pour
défendre les intérêts de la
région contre les mesures
libéro-caquistes
« La
vitalité de notre région est
menacée par les mesures libéro-caquistes
qui se font sur la base des
chiffres sans prendre en compte
l’effet qu’elles auront sur les
gens, » a rappelé, le
candidat péquiste, Sylvain
Rochon à quatre jours de
l’élection partielle de
Richelieu.
«
Pour combattre ces attaques
contre le modèle québécois basé
sur le partage et la justice
sociale, ces attaques contre les
plus démunis, contre les femmes,
contre les enseignants, le
personnel médical, les
syndiqués, contre les organismes
communautaires, j’ai besoin d’un
mandat clair! J’en appelle à
tous celles et ceux qui ont
l’avenir de leur région à cœur.
Le 9 mars, prenez le parti de
votre région!»
« Les
libéraux ne prennent clairement
pas le parti de notre région. Et
comment faire confiance à la CAQ?
» a poursuivi Sylvain
Rochon.
« Le programme libéral s’est
largement inspiré du leur. Ils
n’ont en tête que la classe
moyenne et la baisse de leurs
impôts, alors que près de 20
pour cent de notre population
vit à la limite du seuil de la
pauvreté. Et il est évident que
baisse d’impôt ne peut que rimer
avec diminution de services. »
Au cours de la campagne menée
sur le terrain, à la rencontre
des gens, Sylvain Rochon a
démontré sa grande connaissance
des enjeux de la région et
surtout son profond respect pour
la capacité des gens à décider
eux-mêmes de leur destin.
« Je
refuse d’arriver avec des
solutions toutes faites, »
a-t-il fait valoir.
« Que
ce soit en environnement, en
santé, en éducation, en
développement économique, en
emploi pour les jeunes, en
soutien aux plus démunis, les
acteurs locaux ont démontré leur
capacité à analyser les enjeux
et à apporter des solutions
créatives et adaptées aux
besoins des gens. Je serai à
leurs côtés, dès le lendemain de
l’élection, pour défendre leurs
priorités à Québec. »
Sylvain Rochon, natif de
Richelieu, a grandi et travaillé
ici. Depuis 30 ans, comme
journaliste d’abord et comme
conseiller politique ensuite, il
a écouté les gens, questionné
les acteurs, approfondi les
enjeux locaux pour les faire
connaître et contribuer à y
trouver des solutions.
« À 53
ans, je décide de pousser cet
engagement professionnel et
citoyen jusqu’au bout . Si vous
me faites confiance le 9 mars,
chaque jour que je quitterai la
région pour Québec, j’aurai vos
préoccupations dans mes bagages.
Je serai votre voix à
l’Assemblée nationale, m’y
tenant dans la seule position
digne du Sorelois que je suis:
Debout! »
Comité
électoral de Sylvain Rochon
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