Se départir de
son véhicule en fin de vie, MAIS
pas à n’importe quel prix
MONTRÉAL
(Québec) – 15 octobre 2015 –
Chaque année, au Québec, ce sont
près de 400 000 véhicules hors
d’usage qui sortent de la
circulation. Pour ce faire, il
est important d’agir de façon
légale et écologique.
L’Association
des recycleurs de pièces d’auto
et de camion (ARPAC) rappelle
que c’est le 19 octobre prochain
que la Loi transférant au
président de l’Office de la
protection du consommateur la
responsabilité de la délivrance
des licences de commerçant et de
recycleur de véhicules routiers
entrera en vigueur. Il y aura,
par le fait même, un
resserrement des délivrances de
permis pour les entreprises
œuvrant avec des véhicules hors
d’usage.
L’ARPAC tient à rappeler aux
citoyens que seuls les
recycleurs et les commerçants
recycleurs de véhicules peuvent
légalement acheter les véhicules
en fin de vie. « Afin d’éviter
des problèmes reliés à la vente
de son véhicule hors d’usage,
les citoyens doivent s’assurer
de recevoir un reçu légal et/ou
une attestation de transaction
avec un commerçant (ATAC)
permettant d’obtenir le crédit
de plaque applicable. Seuls les
recycleurs et les commerçants
recycleurs peuvent émettre de
tels papiers. Sans eux, le
citoyen s’expose à des risques,
personne ne voudrait être
responsable d’un véhicule remis
sur la route à son insu», a
déclaré Simon Matte,
président-directeur général de
l’ARPAC.
De plus, le
permis délivré par l’Office de
protection du consommateur
s’assure que le recycleur
respecte les règles du projet de
loi 25 pour la gestion adéquate
des véhicules en fin de vie. «
Il faut prévenir les
déversements de matières
dangereuses et de liquides
polluants. Les recycleurs
membres de l’ARPAC respectent la
loi et le guide de bonnes
pratiques du gouvernement en
matière d’environnement afin de
s’assurer de ne pas contaminer
les sols et les cours d’eau
avoisinant les sites
d’entreposage,» a conclu M.
Matte.
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