Société historique d’Odanak
Départ de la directrice générale Michelle Bélanger

Odanak, le 10 février 2016 – La présidente du conseil d’administration de la Société historique d’Odanak, Suzie O’Bomsawin, annonce le départ de la directrice générale du Musée des Abénakis, Michelle Bélanger, en poste depuis mai 2009. Madame Bélanger quittera officiellement ses fonctions en avril 2016.

Madame O’Bomsawin tient à saluer les nombreux projets réalisés et les onze prix décernés au Musée sous l’égide de Madame Bélanger. « Michelle a su mobiliser les employés et la communauté d’Odanak pour réaliser des projets structurants pour la culture abénakise. Son leadership, sa créativité et son style de gestion ont permis d’augmenter la fréquentation annuelle du Musée, de renouveler son offre éducative et culturelle et d’assurer la santé financière de l’institution. »

« Durant ces années, elle s’est grandement impliquée dans le milieu culturel et touristique centricois. Tous les membres du conseil d’administration et les employés se joignent à moi pour souligner son engagement et son apport inestimable au développement du Musée des Abénakis. Bien que nous soyons attristés par son départ, nous lui souhaitons bon succès dans ses nouveaux défis professionnels. »

Monsieur Mathieu O’Bomsawin-Gauthier, directeur général adjoint, assurera la direction de l’institution après le départ de Madame Bélanger. Détenteur d’un baccalauréat en administration des affaires, Monsieur O’Bomsawin-Gauthier possède huit ans d’expérience au sein de l’équipe du Musée des Abénakis et est très impliqué dans sa communauté.

Il est entre autres l’instigateur de la politique culturelle d’Odanak. De plus, il a collaboré à la refonte du programme éducatif du Musée des Abénakis et, depuis un an, il participe activement à la mise en œuvre de la campagne de dons majeurs du Musée. « Son expérience en gestion et de coordination de divers projets ainsi que sa connaissance de la culture abénakise lui permettront d’apporter une grande contribution au développement du Musée et d’en assurer sa pérennité», souligne Madame O’Bomsawin.