Baie
Lavallière Phase II
Le député de
Richelieu, Sylvain Rochon, fier
du combat qu’il a livré pour le
projet
Sorel-Tracy, le 4 août 2017 – Le
député de Richelieu à
l’Assemblée nationale, Sylvain
Rochon, est fier de voir
démarrer la seconde phase du
projet collectif agricole de la
rivière Pot-au-Beurre qui se
concrétise enfin grâce à une
aide financière de 140 000 $ sur
deux ans du ministère de
l’Agriculture, des Pêcheries et
de l’Alimentation du Québec
(MAPAQ), tirée du programme
Prime-Vert 2013-2018.
« Il y
a, dans le projet collectif
agricole de la rivière
Pot-au-Beurre, affirme le
député, l’agriculture de demain.
Il est ambitieux, inspirant et
il faut lui donner la chance de
réussir ».
Projet s’étant valu
l’engagement de 78% des
producteurs agricoles concernés,
du jamais vu pour ce type
d’initiative
agro-environnementale, le projet
collectif agricole de la rivière
Pot-au-Beurre veut instaurer,
dans le bassin versant de la
baie, des pratiques permettant
de minimiser significativement
les impacts de l’agriculture sur
le milieu naturel, le dépôt de
sédiments dans le bassin
hydrographique étant
particulièrement visé.
Trois objectifs le guidant dans
le dossier de la Baie
Lavallière, la préservation du
gagne-pain des producteurs
agricoles, la préservation du
milieu naturel et la prise en
compte de l’apport économique
tant des activités agricoles que
récréotouristiques, dont la
région ne peut se priver,
Sylvain Rochon a beaucoup
insisté auprès du ministre de
l’Agriculture, des Pêcheries et
de l’Alimentation, Laurent
Lessard, et de son prédécesseur,
Pierre Paradis, pour qu’ils
soutiennent le projet. |
«
Laurent Lessard m’a confirmé, il
y a quelques mois, que l’UPA
allait obtenir cette bonne
nouvelle. C’est maintenant fait
et je suis fier que la
coordonnatrice du projet soit
déjà à l’œuvre. Une étude
hydrologique réalisée tout
récemment dans la baie
Lavallière et le bassin versant
de la Pot-au-Beurre a estimé que
la fréquence à laquelle il
faudrait y nettoyer les cours
d’eau, afin de contrer le
problème des terres inondées sur
une durée trop longue pour la
production agricole, passerait
de 14 ans à environ 25 ans avec
de meilleures pratiques
agricoles en amont de la baie.
Maintenant que les producteurs
s’engagent dans cette voie, le
gouvernement doit plus
sérieusement que jamais examiner
celle du nettoyage des cours
d’eau », a conclu le
député.
SOURCE :
Bureau du député de Richelieu |