samedi 17 août 2019
Dossier du pont entre
Sorel-Tracy et Lanoraie
Le dossier
suit son cours selon le député
Émond et le maire Péloquin
Jean-Bernard Émond et Serge
Péloquin
Par Stéphane Martin,
samedi 17 août 2019
Le député de Richelieu,
Jean-Bernard Émond, confirme que
le comité sur la fluidité de la
région suit son cours, incluant
le dossier du pont entre
Sorel-Tracy et Lanoraie.
Rappelons que le ministre
Bonnardel était de passage dans
la région jeudi pour
l’inauguration de la traverse et
qu’il a été appelé à commenter
le dossier.
(Voir texte :
https://www.soreltracy.com/2019/aout/15a4.html)
« Le
ministre Bonnardel a dit qu’on
n’en est pas là et il a raison.
On ne sait pas si c’est rentable
et réalisable d’avoir un pont.
Les nouvelles installations au
traversier devraient faire en
sorte d’améliorer l’efficacité
en ajoutant près de 100
véhicules à l’heure. Ceci dit,
le ministère est au courant de
l’étude sur la fluidité et notre
gouvernement sera sensibilisé au
dossier du pont en temps et
lieu. Moi, je continue d’aller
de l’avant dans le dossier en
participant aux rencontres du
comité pour la fluidité »,
de commenter Jean-Bernard Émond.
Même son de cloche du côté du
maire de Sorel-Tracy qui avait
cru bon, au moment de
l’inauguration de la nouvelle
gare fluviale, de rappeler que
le comité sur la fluidité des
transports est bel et bien
vivant.
« J’ai
insisté là-dessus, car avec tout
ce qui se développe sur la
Rive-Nord et la Rive-Sud, on
prétend être capable de
démontrer la nécessité d’un lien
routier entre les rives et l’on
appelle ça un pont. Le même
ministre nous a demandé en 2018
de valider notre demande par une
analyse crédible. Le comité est
formé de gens du ministère, de
maires, du député provincial et
d’intervenants du milieu
économique. Lorsqu’on aura des
résultats, on est convaincu
d’avoir une écoute attentive des
paliers fédéral et provincial.
Il est vrai que d’avoir un
service de traversier moderne,
amélioré et sécuritaire est
extrêmement apprécié. Mais l’un
n’empêche pas l’autre. La
pression grandissante et les
futurs projets portuaires
joueront en notre faveur à moyen
terme, soit d’ici 5 ans »,
de conclure Serge Péloquin.
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