mercredi 10 juillet 2019
Le Biophare
reconnu en tant qu’institution
muséale agréée
Mme
Anne-Marie Dulude, directrice
générale du Biophare, et M.
Jean-Bernard Émond, député de
Richelieu
Crédit
Photo : Philippe Manning
(Sorel-Tracy, 10 juillet 2019) –
À la suite du dépôt d’une
demande d’agrément à l’automne
2018 fait par M. Marc Mineau,
alors directeur général, des
experts et des expertes en
muséologie ont recommandé au
ministère de la Culture et des
Communications que le Biophare
obtienne le statut d’institution
muséale agréée.
La ministre Nathalie Roy a
fait l’annonce de cette
excellente nouvelle à la
présidente du conseil
d’administration, Mme Anne
Laganière, et à la directrice
générale du Biophare, Mme
Anne-Marie Dulude, au printemps
2019.
Dans sa lettre, Mme Roy
mentionne que
«
L’agrément garantit au public la
qualité des établissements et
représente une reconnaissance
gouvernementale majeure qui vise
l’application et le respect des
normes reconnues à l’échelle
internationale en matière de
pratiques muséologiques, de
protection du patrimoine et de
sa mise en valeur. »
L’agrément d’une institution est
valide pendant une période de
cinq ans. Il faut ensuite
déposer à nouveau une demande
pour maintenir ce statut. Les
institutions muséales agréées
sont admissibles à certains
services et programmes d’aide
financière du ministère de la
Culture et des Communications et
de ses partenaires
gouvernementaux.
Rappelons que le Biophare,
administré par la Corporation
soreloise du patrimoine
régional, est la seule
institution muséale sur le
territoire de la MRC de
Pierre-De Saurel.
Sa mission consiste à
projeter un point de vue vivant
et actuel représentant les
multiples valeurs patrimoniales
associées à l’occupation du
territoire de Sorel-Tracy, de la
région de Pierre-De Saurel et de
la réserve de la biosphère du
Lac-Saint-Pierre.
Dans cette perspective, le
Biophare fait oeuvre d’éducation
et d’ouverture sur le monde en
présentant des expositions et en
développant des activités qui
témoignent de la vitalité et de
la diversité du milieu de vie
dans lequel il s’insère.
Source :
Anne-Marie Dulude, Biophare |