mercredi 18 novembre 2020
Dévoilement de
la version provisoire du rapport
de l'Agence d'évaluation
d'impact du Canada
Le
Terminal Contrecoeur franchit un
nouveau jalon


Au terme d'un processus
d'analyse exhaustif entamé en
2015, l'Agence d'évaluation
d'impact du Canada (l'Agence) a
rendu publique la version
provisoire de son
rapport au sujet du
projet de terminal à conteneurs
à Contrecœur de l'Administration
portuaire de Montréal (l'APM).
L'APM procède à l'analyse du
rapport et réitère son
engagement à déployer des
mesures d'atténuation et de
compensation exemplaires alors
que son projet d'expansion
franchit une étape importante.
L'APM entend demeurer à l'écoute
des exigences de l'Agence tout
au long de la conception, de la
construction et de l'opération
du projet de manière à favoriser
une intégration harmonieuse dans
la communauté.
Un projet de longue
haleine
Planifiée depuis plus de 30
ans, l'expansion du Port de
Montréal à Contrecœur est rendue
nécessaire par le niveau
d'activité croissant des
importateurs et exportateurs
canadiens, en particulier au
Québec et en Ontario. Le projet
de nouveau terminal permettra de
soutenir l'essor du marché des
conteneurs au cours des
prochaines décennies et de
consolider la compétitivité de
l'écosystème logistique et
industriel de l'est du Canada.
Ce projet a été conçu en
collaboration avec un ensemble
de partenaires locaux, régionaux
et nationaux, et ce, depuis
2014. Des centaines de citoyens
et de nombreux intervenants et
experts scientifiques
provinciaux et fédéraux, de même
que des représentants des
Premières Nations ont participé
au processus de préconsultations
de l'APM, ainsi qu'au processus
indépendant de l'Agence.
Un rapport attendu
L'APM procède à l'analyse de
la version provisoire du rapport
de l'Agence, dont les avis sur
les mesures d'atténuation
proposées pour assurer une
cohabitation harmonieuse. Outre
le plan complet de mesures de
compensation et d'atténuation
soumises à l'Agence, l'APM
s'engage à continuer à
travailler étroitement avec
cette dernière et les
différentes autorités
concernées, ainsi que les
Premières Nations, afin d'avoir
un impact minimal sur les
écosystèmes humain, aquatique et
terrestre.
Source :
Port de Montréal
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