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lundi 19 janvier 2009
La Caisse populaire Contrecoeur contribue à la restauration du
patrimoine religieux
( Contrecoeur, le 14 octobre 2009) À l’occasion d’une rencontre
tenue le 13 janvier, rencontre où la Fabrique Sainte-Trinité exprimait sa
gratitude à l’égard des nombreux bénévoles qui ont participé à la collecte de la
dîme 2008, monsieur Robert Chevigny, président de la Caisse, et monsieur Alain
Bergeron, directeur général, ont remis à monsieur le curé Raymond Poisson et
monsieur Raymond Godin, président de la Fabrique, un montant de 10,000 $ en vue de
la restauration de l’ancien maître-autel de la vénérable église Sainte-Trinité de
Contrecoeur.
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| Photo B.V.
Nous voyons une belle photo lors de la remise de 10,000 $, contribution de la
Caisse populaire Contrecoeur à la restauration du maître-autel de l’église
Sainte-Trinité, dans l’ordre habituel : première rangée messieurs le curé
Raymond Poisson, Robert Chevigny, président de la Caisse, Raymond Godin,
président de la Fabrique Sainte-Trinité, Alain Bergeron, directeur général de
la Caisse entourés des marguilliers et bénévoles de la collecte de la dîme
2008. |
Avec les conseils du Comité diocésain des Arts sacrés, un projet à
vu le jour : restaurer l’ancien maître-autel dans sa perspective originelle; donc,
les élévations du plancher, le retable et la table de célébration sont à
réaménager. Pour ce faire, il importe de constituer un nouvel autel de célébration
au milieu du sanctuaire, lequel doit à la fois respecter l’architecture du temple
et permettre la vue sur l’ancien maître-autel. Cette réalisation est prévue pour
les mois prochains. Une plaque souvenir soulignera ce projet et son partenaire, la
Caisse populaire Contrecoeur, à l’entrée principale de l’église.
Cette heureuse participation de la Caisse populaire Contrecoeur éveille en nous
l’histoire des origines du mouvement Desjardins, souvent né sous le toit de la
Fabrique locale. Merci aux dirigeants et aux membres de la Caisse! Nous
enrichissons ainsi le plus beau monument du patrimoine de Contrecoeur.
Source : Léopold Hamel
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