Réunis en point de presse une semaine après l’incendie qui a lourdement endommagé l’École secondaire Bernard-Gariépy, la directrice de l’École secondaire Fernand-Lefebvre, Audrey Mills, le directeur de l’École secondaire Bernard-Gariépy, Patrick Lamothe, le directeur adjoint au CSSST, Jonathan Charbonneau, le directeur des Services des ressources matérielles du CSSST, Ralph Beaulieu ainsi que la directrice d’accompagnement au CSSST et coordonnatrice de la cellule de gestion de crise, Nathalie Massicotte.

(Stéphane Martin, 21 janvier 2025) – Il est encore trop tôt pour déterminer l’étendue exacte des dommages causés par l’incendie à l’École secondaire Bernard-Gariépy.  C’est ce qui ressort d’un point de presse tenu par les autorités scolaires ce mardi matin, soit, une semaine après le événements.

« Les experts et les évaluateurs en sinistre sont actuellement sur place pour évaluer les dégâts et déterminer quels éléments ont été touchés. Cette opération prendra du temps. Il est donc prématuré de donner un chiffre exact pour les coûts des réparations ou de savoir si l’école sera prête pour la rentrée de septembre », explique le directeur des Services des ressources matérielles du Centre de services scolaire de Sorel-Tracy (CSSST), Ralph Beaulieu.

Les informations préliminaires recueillies tendent cependant à démontrer que les dommages causés par les flammes seraient limités qu’à l’entretoit.  « Il faut également comprendre que les pompiers ont arrosé l’école pendant environ 8 heures pour éteindre l’incendie. Cela a entraîné une infiltration d’eau importante dans le bâtiment. Les gymnases ont subi des dommages importants à cause de l’eau. Les surfaces des revêtements en bois franc doivent être complètement retirées. Il y a eu beaucoup d’eau au niveau du rez-de-chaussée […] Il y a eu un pompage qui a été fait immédiatement après pour minimiser les dégâts », ajoute Monsieur Beaulieu qui réitère qu’il faudra encore un peu de patience avant de connaître la suite des choses sur l’aspect matériel.

Les dirigeants n’ont pas osé s’aventurer sur un montant que les parents pourraient potentiellement réclamer pour remplacer certains biens personnels et le matériel scolaire qui ont été endommagés lors de l’incendie. Ces questions d’assurances seront traitées lorsque le travail des évaluateurs sera effectué.

Rappelons que l’enquête du Service de protection et d’intervention d’urgence de Sorel-Tracy a déterminé que des travaux de soudure sont à l’origine du brasier qui a sévit le 14 janvier dernier.

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