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Lundi 15 avril, 2024
Nouvelles vignettes de stationnement à 25$
La Ville de Sorel-Tracy est ouverte à aller en consultation
(Stéphane Martin, 15 avril 2024) – La nouvelle réglementation au sujet des vignettes de stationnement à 25$ aura occupé presque l’entièreté période de questions pour l’assistance lors de la dernière assemblée ordinaire du conseil municipal de la Ville de Sorel-Tracy.
Quatre citoyens ont pris la parole afin de partager leur insatisfaction face à la récente façon de procéder. Rappelons que les élus adoptaient, le 19 février dernier, la nouvelle réglementation faisant disparaître les vignettes pour les visiteurs tandis qu’un maximum de deux permis de stationnement peut être délivré à la même adresse au coût de 25$ chacun. En contrepartie, il est maintenant possible qu’un visiteur se stationne dans la rue, sans permis de stationnement, entre 20h et 7h ainsi que toutes les fins de semaine.
Les opposants ont émis le souhait de voir disparaître ces zones de vignettes et toute la gestion de stationnement de leurs visiteurs que cela implique. Les conseillers Stéphane Béland et Jocelyn Mondou, respectivement des districts du Faubourg et du Vieux-Sorel, ont également signifié qu’il s’agissait d’une demande entendue de la bouche de plusieurs citoyens.
« J’entends ce que vous me dites. Si ça ne vous intéresse pas d’avoir une interdiction de stationnement dans votre rue […] nous sommes ouverts. […] On va faire une consultation, je ne sais pas encore quelle forme ça va prendre, mais on va pouvoir voir si l’on retire l’espace vignettes des quartiers [concernés] », laisse savoir le maire de Sorel-Tracy, Patrick Péloquin.
Cependant, ce dernier mentionne que la décision devra être réfléchie puisqu’il n’y aura pas de retour en arrière possible. « Une chose est sûre et je le dis d’avance. Si la décision est d’enlever les espaces vignettes et que les employés du centre hospitalier viennent dans les rues et se stationnent partout […] nous n’allons pas remettre la zone de vignettes. […] Il faut penser à ça parce que l’on ne fera pas marche arrière », de conclure Monsieur Péloquin.
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