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Mardi 13 juillet, 2021
Conservation et la protection du patrimoine religieux
Le député Émond annonce plus de 354 000$ en financement pour les églises de Sainte-Anne et de Saint-Ours
SOREL-TRACY, le 13 juillet 2021 – Le député de Richelieu, M. Jean-Bernard Émond, annonce au nom de la ministre de la Culture et des Communications, Mme Nathalie Roy, qu’une somme de 354 188 $ sera versée pour la restauration des églises de la municipalité de Sainte-Anne-de-Sorel et de la Ville de Saint-Ours.
Un montant de 109 188 $ servira à restaurer la maçonnerie de l’église de Sainte-Anne-de-Sorel, tandis que 245 000 $ seront réservés à la réalisation à la restauration de la maçonnerie et du clocher de l’église de l’Immaculée-Conception à Saint-Ours, laquelle est classée en vertu de la Loi sur le patrimoine culturel.
La somme consentie aujourd’hui fait partie de l’enveloppe totale de 15 M$ du Programme visant la protection, la transmission et la mise en valeur du patrimoine culturel à caractère religieux, annoncée récemment par la ministre de la Culture et des Communications pour l’année 2021-2022. Sur l’ensemble du territoire québécois, 73 projets seront réalisés grâce à ce montant. Rappelons que le Programme permet de financer jusqu’à 80 % des coûts des projets ayant préalablement fait l’objet d’un processus de sélection rigoureux du Conseil du patrimoine religieux du Québec.
En finançant la restauration et la requalification de bâtiments à caractère religieux qui sont propres à l’identité québécoise, le gouvernement du Québec préserve un précieux héritage qui fait la fierté des citoyennes et citoyens et qui contribue à la beauté des villages.
« Afin de rappeler notre passé et de nourrir notre mémoire, nous devons protéger ce patrimoine qui constitue un outil de connaissances privilégié sur l’histoire du Québec. Ce patrimoine n’est pas seulement religieux, il est aussi culturel et social. En effet, les lieux de culte ont joué et jouent encore aujourd’hui un rôle majeur en matière de cohésion sociale et les citoyens s’y retrouvent pour des activités non seulement religieuses, mais également communautaires et très souvent culturelles. Notre patrimoine religieux est constitué de magnifiques témoignages de notre passé. Les Québécoises et les Québécois éprouvent pour cet héritage une légitime fierté et c’est pourquoi notre gouvernement s’est fait un devoir de le sauvegarder et de le faire connaître », ajoute la ministre de la Culture et des Communications, Nathalie Roy.
« J’accueille avec enthousiasme ce financement substantiel à la conservation du riche patrimoine religieux de notre région. Nos églises sont un héritage précieux que nous devons absolument entretenir et protéger. En plus de permettre la préservation de ces bâtiments, les sommes annoncées aujourd’hui sont essentielles à la remémoration de notre histoire et de notre culture. Je remercie ma collègue et ministre de la Culture et des Communications, Mme Nathalie Roy, pour son écoute et sa sensibilité à cet égard », témoigne le député de Richelieu, Jean-Bernard Émond.
« Je me réjouis de cette annonce de l’enveloppe budgétaire de 20 M$ pour le patrimoine culturel à caractère religieux. Les sommes investies par le gouvernement du Québec pour la sauvegarde du patrimoine religieux génèrent des retombées économiques importantes dans l’économie québécoise. La réalisation des travaux engendre une forte mobilisation des communautés locales et elle contribue significativement au maintien d’un savoir-faire et d’une expertise professionnelle spécialisée dans le domaine du patrimoine », conclut la présidente du Conseil du patrimoine religieux du Québec, Josée Grandmont.
La somme consentie aujourd’hui fait partie de l’enveloppe totale de 15 M$ du Programme visant la protection, la transmission et la mise en valeur du patrimoine culturel à caractère religieux, annoncée récemment par la ministre de la Culture et des Communications pour l’année 2021-2022. Sur l’ensemble du territoire québécois, 73 projets seront réalisés grâce à ce montant. Rappelons que le Programme permet de financer jusqu’à 80 % des coûts des projets ayant préalablement fait l’objet d’un processus de sélection rigoureux du Conseil du patrimoine religieux du Québec.