La saine gestion d’entreprise existe. J’y crois et j’en ai été témoin.

Tous et toutes ne sont pas doués pour faire prospérer et grandir une entreprise à l’unisson avec la gestion saine et positive du personnel, ce qui est trop souvent oublié ou volontairement ignoré.

On peut savoir compter, élaborer des projections financières et avoir un profil déficitaire en matière de relations humaines et de psychologie du travail.

Un ou une “boss de bécosse” se dévoile aisément et se révèle par le biais d’attitudes négatives:
– plagiat des modes de direction rigides des années 50-60 où le patronat s’arrogeait tous les droits parce qu’il fournissait de l’emploi.
– esprit coercitif, voire infantilisant, même humiliant envers les employés.
– soumission aveugle à ses supérieurs hiérarchiques même au désavantage des employés.
– exploitation des talents et capacités des employés sans gratification ni reconnaissance.

Certains types d’entreprises et de commerces n’ont que peu de conscience en regard de l’embauche de leur direction. L’arbitraire prévaut malgré les lacunes en gestion de ressources humaines. J’en ai été malheureusement témoin aussi.

Hélas! Le manque de culture générale et d’ouverture d’esprit n’arrange rien.

Il est malheureux d’être dirigé par plus incompétent que soi.

Le pouvoir ne jaillit pas forcément entre les mains des plus grands esprits.

Hommage à la saine gestion

Oh oui! Elle existe. Et de mieux en mieux, elle se développe avec compétence et intelligence, basée sur une valeur tandem: faire rayonner et grandir l’entreprise en étroite collaboration avec tous les coéquipiers qui la composent et la définissent.

Souhaitons entendre de plus en plus le mot “bonheur” au sein des entreprises dont la philosophie de gestion est inclusive, stimulante, reconnaissante. Le monde du travail a besoin de la multiplicité d’esprits ouverts, novateurs, qui reconnaissent authentiquement les inestimables valeurs intellectuelles et humaines de chaque individu.

Espoir il y a!