(Communiqué) – La transparence est un principe démocratique essentiel qui ne saurait être réduit à un vêtement d’apparat qu’on sort une fois tous les quatre ans dans lequel on se drape pour se donner belle apparence.

La transparence et la confiance sont les pierres angulaires sur lesquelles repose la crédibilité de toute organisation. Limiter les huis clos lors des séances plénières du conseil municipal pour favoriser la transparence serait un bon début selon M. Courville candidat dans le district des Patriotes à l’élection partielle du 20 novembre prochain.

Outre le déficit démocratique qu’impliquent les délibérations à huis clos, celles-ci sont aussi, trop souvent, le lieu d’exclusion envers les élus qui osent exprimer des idées différentes de la majorité. La confiance envers les élus municipaux n’en serait que renforcée et l’intérêt pour les séances du conseil renouvelé.

Les contribuables sont les derniers mis au courant, en aval de projets qui ont des impacts sur une foule de sujets qui les concernent comme citoyens : urbanisme, développement immobilier, espaces verts, circulation routière, qualité de vie pour ne nommer que ceux-là.

Pour de l’aide financière aux organismes à but non lucratif ça prend une résolution. Pourquoi c’est différent que de donner un contrat, les règles en gestion de contrat. Entre 25,000$ et 120,000$ c’est le DG qui octroie. Entre 0$ et 25,000$ les directeurs de service.

Une mécanique ouvrant le recours à des ententes entre le secteur privé et la Ville, négociées et entérinées en toute confidentialité, en esquivant le passage, normalement obligé, d’une résolution au conseil municipal et donc soumise à l’œil public des citoyens et des médias.

Si vous m’en donner l’occasion, et que vous en exprimez le désir les 13 et 20 novembre prochain. Je me ferai un devoir de bien vous représenter et d’aller porter votre message au conseil de ville.