Effectuez une recherche
Mercredi 14 juin, 2023
L’ESBG a soufflé ses 50 bougies le weekend dernier
(Stéphane Martin, 14 juin 2023) – L’école secondaire Bernard-Gariépy (ESBG) a célébré les 50 ans de l’établissement samedi dernier lors d’une journée spéciale où les anciens élèves et membres du personnel ont côtoyé les cohortes présentes et futures.
« C’est un peu plus de 200 visiteurs que l’on a accueillis à divers moments dans la journée. En soirée, notre cocktail dînatoire et notre événement hommage auront déplacé plus de 150 convives. Nous avons dévoilé notre mur de personnalités inspirantes. Ce sont des gens qui rayonnent partout dans le Québec et qui sont passés par l’ESBG dans leur parcours scolaire. On a présenté des gens du milieu des arts et de la scène culturelle, du milieu sportif et également entrepreneurial. C’était important d’avoir une belle diversité pour inspirer nos jeunes », explique le directeur de l’école, Patrick Lamothe.
Sur place, le SorelTracy Magazine a rencontré un ancien professeur d’éducation physique qui enseignait lors de l’inauguration de l’établissement. « J’ai enseigné pendant 10 ans et je ne voulais pas manquer cette journée spéciale. J’ai plein de bons souvenirs ici et c’est un moment très important. Je suis accompagné de ma fille, Stéphanie, qui est éducatrice spécialisée à l’ESBG. C’est une grande fierté pour moi », raconte avec émotion, Raymond Cordeau.
Les élèves ont également été impliqués dans cette journée de commémoration qui a renforcé le sentiment d’appartenance à leur école selon le directeur. « Les jeunes sont toujours surpris de constater que des gens qu’ils voient à la télévision ou qu’ils entendent à la radio ont eu le même parcours qu’eux. Je crois qu’ils réalisent que l’école c’est plus qu’un établissement et que ce sont les gens qui y ont travaillé et étudié qui font son histoire. Dans les 50 dernières années, il y a plus de 50 000 élèves et 1 000 membres de personnel qui sont passés par l’ESBG. Cela représente plus de 60 000 heures d’enseignement. Il est certain qu’on se tourne vers l’avenir, mais il faut regarder ce qui s’est fait dans le passé si l’on veut construire notre identité », de conclure Patrick Lamothe.