Acier
Atlas rejet des demandes monétaires
Est-il possible
de comparer les Aciers Atlas avec Air Canada ?
Les journaux nous apprennent que la situation des Aciers Atlas est
de plus en plus critiques, en cette fin d'année 2003, nous sommes
dans la période ou un Sauveur nous est né, et le temps de se
souhaiter nos voeux de noël et du nouvel an.
Est-il possible de comparer les Aciers Atlas avec Air Canada ?
Air Canada a finalement choisi l'homme d'affaires sino-canadien
Victor Li pour se sortir du marasme financier dans lequel il est
plongé depuis plusieurs mois. M. Li devient ainsi l'investisseur
principal du transporteur.
La
semaine dernière, un juge ontarien a permis à la compagnie Trinity
Time Investments de M. Li de bonifier son offre de 650 millions de
dollars pour contrer celle de la société américaine Cerberus
Capital Management.
Air Canada s'est réfugié sous la protection de la loi, sur ça va
en prendre des arrangements avec les créanciers en raison d'une
dette de 13 milliards de dollars.
Avec le peut de connaissance de la situation il est difficile de déterminer
la fin
des
aciers Atlas, politiquement dernièrement des gestes ont été posés
qui semble ne pas avoir eu d'effets concluant, c'est souvent le cas,
si ça va bien quelqu'un voudra prendre les honneurs, si ça échoue
les politiciens diront c'est pas de leur fautes, c'est la faute
de....,,trouver un coupable, c'est pas la solution.
L'important ce n'est pas de savoir qui va sauver la région, c'est
de se mobiliser
sur
le plan régional pour faire pression sur les décideurs du milieu
pour que cela
se
transporte sur nos gouvernements (Québec Ottawa). Il faut mettre
les différents politique
de coté.
Il est plus important de sauver les emplois des Aciers atlas que
d'investir dans le centre Ville,
les efforts de messieurs Plamondon Fédéral (c'est le temps
d'agir),
M.
Simard Québec et capitaux de risques
MRC. SADC. fond de la CSN, fond Desjardins, Chambres de
commerces et autres devraient se mobiliser et mobiliser la
population, pour négocier une solution entre les
investisseurs possible et le syndicat, attendre c'est jouer avec le
feu, et ça va en prendre des PME, pour maintenir le développement
économique régional.
Plus ont s'appauvri plus notre région deviendra un lieu idéal pour
le traitement des matières dangereuses, espérons que ce n'est pas
la seule vision de notre avenir !
Quel sera la résultante de ces pertes d'emplois sur notre hopital,
notre CEGEP, nos écoles, nos commerces et sur nos taxes ?
Souhaitons nous une bonne et heureuse année et le courage de
changer notre région pour un avenir meilleur il se fait tard mais
souhaitons qu'il est encore temps, il faut surtout pas se croiser
les bras et croire que le sauveur qui va naître va le faire a notre
place, allez un coup de coeur il est temps d'Agir.
Jean-Yves Landreville, 22/décembre 2003