CE SOIR IL ME VIENT UNE IDÉE

Amoureux, chantez !

Je me suis inspirée  d’un très beau texte de Théodore Boitrel 

Vous pour qui la Vie est méchante,
Vous tous que le Chagrin pâlit,
Chantez pour qu’arrive l’oubli 

Vous que nul idéal n’enchante
Ne courbe sous sa douce Loi
Chantez pour que s’active la Foi

Vous que la Haine desséchante
Torture la nuit et le jour
Chantez pour y découvrir l’Amour

Vous qui d’une façon touchante
Scrutez l’Horizon toujours noir
Chantez pour qu’à jamais ne s’éteigne l’Espoir. 

Devant tant de contrariété, ST. Valentin est entré dans une profonde tristesse. Se met donc en chemin un peu avant son temps, histoire de trouver une solution pour faire de ce 14 février 2004 un chant d’amour plutôt qu’un chant de détresse.

Comme à l’accoutumé sa règle d’or est de donner du bonheur, choisi donc, ces demeures pour lancer ses flèches qui sauront j’espère, faire disparaître toute cette morosité et faire renaître en chacun leur cœur, un avant-goût de ce que doit-être la grandeur de la vie, de l’amour en ce si beau jour!   Comment m’y prendre, se dit-il , pour leurs faire chanter les merveilles qui nous entourent, pour que tout devienne sourires et verdures?  Comment les faire se détacher d’eux- même, afin qu’en l’autre ils remarquent son regard, son cœur qui demande qu’à aimer?  Moi je vous dit, tout comme Valentin, effacez les doutes intérieurs, les tracas, la malveillance en vous. Pourquoi ne pas s’associer avec Cupidon, et jouer d’astuce, d’habilité, de ruse même s’il le faut, (mais sans méchanceté) = Partez à = l’Aventure!=    Oh! que de bonheurs perdus faute d’ingéniosité, faute de pouvoir se créer des fantasmes!

 Les plus beaux mots d’amour se disent par de simples paroles de simples gestes. Ne jamais désespérer d’une rencontre fortuit, tant de surprises peuvent se jouer en cette journée. Je fais confiance à mon cher Cupidon pour égayer cette belle fête de l’Amour.

Ajoutez votre participation personnelle à tout ce qui se présentera d’imprévu, et d’insolite!. 

Allons Messieurs Dames bravez l’inconnu, jouer de la prunelle, et que la fête commence!

Bérengère
lundi 02 février 2004
 

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