Ce soir il, me vient une idée !
Effets et bienfaits !
Je conçois la grâce un peu comme un feu
d’artifice répandant les vertus dans toutes les directions pour
ainsi atteindre bons et moins bons, avec l’espérance que ses rayons
lumineux arrivent à réchauffer cette masse; combien s’en
trouveraient parmi eux pour s’imprégner de ses effets salvateurs et,
qu’ainsi dans leur corps ces étincelles de feu tout en se calcinant
arrivent à réchauffer le cœur et en faire le plus beau flambeau de
l’humanité.
La flamme Olympique ne serait qu’un feu d’allumette en comparaison à
toute cette incandescence émergée.
N’oublions pas que les grâces qui nous sont données par l’entremise
de la foi, sont de vraies provisions de calories. Elles donnent la
santé à l’âme.
Jamais nous ne pourrons détruire l’âme et, tant que chacun vivra, il
y aura toujours dans l’homme quelque chose d’immatériel de permanent
de toujours présent et ceci, se nomme âme, cette immortelle, jamais
nous pourrons nous y soustraire, prenez ça comme une vérité de foi!
Tout comme le rituel de vie que chacun se donne.
Chaque jour les mêmes gestes les mêmes échanges les mêmes habitudes
les mêmes discours.
Ce jour nouveau trouvera-t-il acquéreur, dois-je attendre tout de
lui, me donnera t-il quelques envies ou, quelques ennuis? Si dans le
premier les envies savent se définir plus que moi-même, je cours une
chance que le rituel me dépasse; mais si dans le deuxième l’ennui
m’envahi, ce jour nouveau qui m’interpelle, m’ouvrira à une
perspective meilleure sinon, elle devient morne et inutile.
Combien souffre de contrariété de lassitude faute, de ne pas savoir
changer le rituel de leur propre existence?
Pas un jour ne doit être une routine mais bien une introduction
innovatrice que j’appel (vouloir vivre.)
Apprendre à se découvrir, à se regarder vibrer au même rythme que
nos découvertes, sentir que chaque journée qui passe, apporte ses
éléments de chaleur à profusion, tout comme l’air et l’eau si
précieux à notre survie. Sortons de notre propre marasme existentiel
et, les jours s’illumineront tout en sachant apprécier les
changements positifs mis à notre porté.
L’arbre dans ma cour y a t-il plus rituel que lui, là, au milieu du
parterre et pourtant, chaque jour il m’apporte ses joies nouvelles.
Il ne bouge jamais de la même manière, sa cadence diffère chaque
fois par le vent qui s’amuse à le faire danser tellement, que j’ai
le goût de m’y agripper tant qu’il me captive, je lui trouve
élégance. Il est comme la nature présent fidèle à lui- même, comme
elle, nous oxygène fais nous sentir mieux.
De quoi demain sera t-il fait?
Pourtant toujours nos pensées se heurtent à cet aujourd’hui. A
travers ce qui ne semble pas bouger, un bonheur, un inattendu, un
malheur sans cesse, nous tient en captivité, nous empêche d’avancer,
de progresser.
L’inquiétude, l’ennui ont été inventé par l’homme, par ceux dont
l’intérieur de l’être ne dépasse pas l’extérieur du corps.
Cultivons l’esprit, car il vogue bien…. au- delà… des ondes…et de
ses éléments naturels!
Ce rituel a quelque chose de magique même au niveau de l’humain;
nous le façonnons aux rythmes de nos émotions intérieures. Que ce
soit par ouverture d’esprit ou selon le rythme biologique. La
réflexion, l’attention que je porte aux choses et aux êtres qui
m’entourent, le désir de vouloir être heureux et de rendre aussi les
autres heureux, doit me rendre clairvoyant, sensible humble, ainsi
je prends part aux grâces et à ses bienfaits, Là se trouve la vraie
richesse, la paix, qui rend bon!
Le bonheur se tire des efforts, que nous y mettons pour y arriver,
les grâces viennent ensuite.
Bérengère
samedi août 20, 2005
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