Est-ce une rigolade ou une nausée ?

Mon Dieu, mon DIEU, comme nous sommes souvent confrontés à des situations renversantes!  Dans un pays où la libre expression existe, et dieu merci… j’ai moi aussi le droit à mon opinion tout comme ma collaboratrice y a aussi droit, nous nous laissons aller par l’entremise du billet de Bérengère à exprimer toutes deux nos émotions personnelles.

Si nous sommes les apôtres du Christ, nous ne pouvons passés sous silence ces manquements aux principes même de l’Église.  Tous nous savons que le sacrement du mariage est une institution Divine, comment peut-on le bafoué à ce point?  Faut-il en rire ou en pleurer, comme le chantait si bien Jean Ferrat…fait-elle envie ou bien pitié?

Oui, fait-elle envie ou bien pitié cette communauté gay qui vient d’acquérir le droit au mariage par le biais de nos bons députés fédéraux?  Aurions-nous fait un pas en avant, ou ne serais-ce pas plutôt un net recul en arrière, en revenant à certaines mœurs de l’Antiquité païenne(irréligieux)....?

Court historique : L’Antiquité païenne qui chaque année arborait de façon grandiose par des chars allégoriques à symboles phalliques, leurs appartenance à la communauté homosexuelle (Gay) de cet époque.  Donc leurs parades annuelles n’est rien d’autres qu’une copie de cet Grèce antique de cette (Entité.)   Comprenons bien que l’homosexualité exprimera toujours une marginalité, un problème d’ordre psychologique (d’ordre génétique ou non) une maladie de l’être, pénible à constater, difficile à comprendre mais, nettement insupportable lorsqu’elle s’arroge le droit d’être naturelle et normale à l’intérieure de la nature humaine.

Elle constituera toujours un illogisme, voir une insulte au Créateur, et même Dieu mis de côté, l’insulte demeurera toujours envers tout être humain digne de ce nom.  Il est absurde et incompréhensible pour un homme que de s’identifier à une femme à l’intérieure d’un (couple) qu’il l’est, pour un professeur de géométrie, que de s’obstiner à confondre une figure de cercle, avec un carré.

Que l’on désire porter ( jarretière de dentelle rose sur grosse cuisse masculine bien velue) ne me dérange pas du tout, mais de grâce, qu’on ne le fasse pas en publique, tentant de banaliser cette situation hors norme et, de me l’imposer comme normale et saine, Allons-
Donc.

Soutenons l’Église du Christ dans ses fondements, ses principes ses traditions Ne
nous laissons pas berner par tout ce modernisme.

Pensée : Malheureux l’homme qui se confie dans l’homme, qui s’appuie sur un bras de chair et dont le cœur s’éloigne de l’Éternel.

Bérengère