Ce
soir Il me vient une idée !
LA CIVILITÉ
Ce savoir-vivre, ce comportement
envers les autres doivent sans cesse être une remise en question!
Des quantités d’auteurs ont parlé sur ce même sujet, et des
générations à venir en parleront encore et encore, car se sera
toujours d’actualité.
Combien de fois il m’arrive de
voir des automobilistes qui passent et, que regardant s’offre à mes
yeux toujours le même spectacle!
Ces chauffeurs qui ont une main
sur la roue de conduite, et de l’autre main le doigt dans le nez.
J’aurai beau faire, ça attire
bien malgré moi, mon attention! Mais,.. ce qui est le plus
étonnant et je vous jure que ça vaut le coup d’œil! C’est
l’emphase la concentration qu’ils déploient, pour arriver à
extraire cette substance solide qui ne semble pas pouvoir se
décoincer, et qu’une fois délogée ils prennent tant de plaisir à
examiner sous toutes ses formes, cette indigne, ou cette
extraordinaire…tout comme un trophée qu’ils auraient gagné de peine
et de misère, ils ont pu enfin la décrochée….!
Tout probable que ce sera le
seul trophée qu’ils auront, et embellira leur vie!.
( Les champions de la guédille)!
Sujet déplacé me direz-vous;..
tout comme le rot et le pet. À travers eux, ils ruminent leurs
ennuis, leurs désoeuvrements, et leur manque d’intérêt.
L.Masson experte en la matière
du savoir-vivre, veut bien nous livrer son « Savoir sur les bonnes
manières à suivre, et comment se départir de nos mauvaises
habitudes.
Voici » ( Il est tout à
fait naturel que le corps s’exprime par des fonctions bien
déterminées. Tout comme se moucher, mais qu’on le fasse dans un
mouchoir ou un kleenex discrètement sans tambour ni trompette, et
non dans une serviette de table pour ensuite en examiner son
contenu.
La tentative d’expectorer à
grand renfort de raclage de gorge, appelle une retraite provisoire
dans l’intimité d’une salle de bain. Roter est proscrit en
Occident. Son bruit est disgracieux La courtoisie exige au moins de
s’excuser.
Je continue. Je sais bien que
cela est délicat pour moi B. mais bien des gens n’osent
aborder cette problématique…..
Oserais-je parler du dernier
souligne L.M…celui dont on se demande s’il
faut le taire ou l’exprimer? Pourquoi pas?
Le pet, puisqu’il faut l’appeler
par son nom, qu’il soit sournois ou furibond, reste toujours infâme.
Si on prévoit son éruption, il vaudra mieux se mettre à
l’écart d’un groupe ou, si le temps manquait la civilité commande de
s’excuser très brièvement.
De ces comportements, même en
1555 étaient existants. C’est la nature humaine!
Un certain Jean Sulpice
écrivain, reprenait les propos de cet auteur M. F. Lecherbonnier, qui est une continuité en somme,
de ce civisme et, dans un orthographe tout à fait de l’époque
Un peu difficile à lire, mais
on y arrive…!.
( Un mode d’emploi concernant
les flatuosités ) M.L
Si de roter te venois appétit, Ferme ta bouche et te tourne un petit
Faisant couler ce vent ord et nuisible À peu de bruit, ou nul, s’il
est possible (…)
Mais de péter garde qu’il ne t’échappe, Retiens ce vent et en dedans
l’attrape
Ferme le trou. Joins les fesses ensemble, Et serre fort, encores
qu’il te semble
Que la douleur te deusr tant tormenter Comme une femme approchant
d’enfanter;
Car pour un pet ord, puant et infâme Fait à table. il n’est homme ne
femme
Qui ne te dist que tues à outrance
L’un des plus grands archevilains de France »
Érasme devait être plus indulgent. Il encourageait de s’écarter de
la compagnie et de couvrir la trame sonore d’une soudaine.
Toux. ---Aux---.choix--!
Pensée :
La politesse est la fleur de l’humanité. Qui
n’est pas assez poli n’est pas assez humain.
(JOUBERT.)
Bérengère
jeudi août 17, 2006