Ce
soir Il me vient une idée !
AIMER, OUI ! MAIS...
L’amour.. L’amour.. l’amour..faut-il qu’il soit si gonflé? Que de
gens malheureux face à
cette dépendance. On attend beaucoup trop de l’amour surtout de
celui avec un grand A.
Lorsque l’amour viendra, çà ne sera pas l’amour à l’infini, mais
bien l’Infini qui t’enveloppera. Cet amour physique, mortel prendra
alors tout son sens. Deux transfusions viendront d’une même source
et complèteront le vide de deux âmes, mais pour ça il faudra les
mériter. Pour qui le sacrifice ne fait pas peur, il faut d’abord
travailler le respect l’un envers l’autre, l’amour suivra ensuite,
tel un délice, un nectar sur le cœur; tout comme la cerise sur le (sunday.)
Il sera exquis, charmant, réfléchi responsable. Celui que l’on aura
pris le temps de préparer avec vénération, avec égard et
bienveillance.
Ces respects mutuels sont tous des sentiments défendables, conforme
à la nature de l’homme, de ce que nous en avons reçu de Dieu Lui-
même.
Il a été le premier à nous aimer, Il nous a transmis ce don de
l’amour. Ça exige un certain
éventail de qualités, de grandeur d’âme, d’altruisme et j’en passe. Tous ces attributs sont avant-gardistes de ces inclinations
amoureuses tant recherchées. Toute une vie en dépendra et, il y a
forte chance que le bonheur ce compagnon de votre cœur sera au
rendez-vous.
L’être est si fragile, la sensibilité toujours à fleur de peau. Il
ne faut pas jouer avec un cœur honnête, pieux. C’est là qu’il peut
se briser à jamais! Faire du « Je t’aime » que du bluff.
Ces bluffeurs, ces vantards, ces fanfarons de la déloyauté) ne
pensent qu’à étancher leurs penchants psychotique. Ils ne savent que
tromper, et pour qui, est trahi (e) au plus profond de l’âme, ( au
point de vouloir mourir?) mon Dieu! Quel accablement pour ceux qui
souffrent! L’abattement totale! Méditer une vengeance? Non! Rentrer
dans ses principes à lui? Mal pour mal, et mal après mal, ce n’est
jamais que du mal. D’où ce mal de vivre. Comment en sortir?
Subjuguer l’adversaire. Les ressentiments sont une victoire pour
lui; que cherche t-il, sinon de vous troubler. Que plutôt votre paix
intérieure et votre liberté, votre indépendance le déconcerte; ainsi
déstabilisé, il n’a plus d’emprise.
Réfléchissons sur ce que nous sommes en réalité, donnons à cette
réalité tout son sens.
On dit souvent, que le vrai prochain n’est pas celui que nous
voyons. (L’homme est un loup pour l’homme)
Ce ne sont pas ces compagnons de chaînes, ces êtres faibles,
vacillants, esclaves de tout et d’eux-mêmes. Prompt à souffrir, et à
faire souffrir, à tromper et à être trompé, à décevoir et à subir
l’effroyable déception de l’existence. Ce prochain là, n’est qu’un
fantôme passager.
Il y a en arrière, en dessous un autre prochain qui n’est jamais
inférieur à ce que nos vues
les plus ambitieuses en attendent. Dans l’Évangile, le prochain est
toujours beau, toujours grand, toujours nous devons nous sentir
comme des frères, non comme des rivaux. La vie, la vraie, n’est pas
cette banale existence. Apprenons surtout à vivre, à ne pas
désespérer, car vivre c’est recevoir, c’est aussi donner. Le seul
amour vrai cherche-le. en Dieu, non en l’homme.
On ne sait plus donner une part à l’amour, cette part se trouve dans
le respect de l’autre (au risque de me répéter) surtout dans le
respect de soi-même en premier. S’aimer, se sentir amoureuse. Ne pas
trop exiger du bonheur, mais apprendre à vivre du bonheur,
là où il est en ton cœur en ton âme là, où tu trouveras la paix qui
soulage les angoisses les peurs. Ce mal de vivre que tu ne supporte
pas, c’est le trop plein de toi-même.
Se libérer de tous ces traquenards de la vie, que sont nos
faiblesses. Apprenons plutôt à
vaincre ces handicaps.
Cette fibre humaine impressionnable qu’est l’affectivité, comme nous
en somme vulnérable. Il est bien normal de défendre nos émotions,
nous en sommes remplis!
Tendresse, compassion, ce cœur qui n’en fini pas de s’émouvoir, de
battre à tout rompre Nous avons été formé à les appliquer ces vertus
qu’on nous a enseignées, elles ont formées nos consciences.
L’honnêteté, la sainteté, la générosité, la décence, la continence,
le devoir, cette moralité ( principe de base.). Où s’arrêterait
l’homme? Appliquons-nous à les mettre en pratique. On nous rabâche
sans arrêt des diètes à suivre, vous ne pouvez en avoir une aussi
bonne ici, que la mienne que je propose, la diète de l’âme,
Pleine de vitamines; je peux même vous garantir le succès! Croyez-en
ma parole!
Mais malheureusement ce qui atteint ce point vulnérable et vital de
nos affections est l’excès en toute choses. Trop de familiarité
engendre le mépris, abaisse les liens, font apparaître des misères
morales, physiques dont on arrive plus à se sortir.
Cultivons la discrétion qui est une grande qualité. Trop d’amitiés
exploitées, combien en sont victimes?
Je crois en l’amitié en(l’ami (e) Ce n’est pas une possession, c’est
une haute alliance. On associe le cœur à l’esprit. Une parenté non
plus n’est pas un bon de caisse d’épargne, mais une conjonction de
destins. On se rend service. Le don est riche. Associer la beauté de
ce monde, et les espérances de l’autre. La vraie charité quoi!
Chacun pour l’autre, et le bon Dieu pour tous!
Ref.: SERT
L’humanité dit (Gratry) est une pluralité d’âmes destinées à
l’amour. Il suffirait que chacun s’en pénétrât pour assurer son
cœur.
Pensée : Les hommes ressemblent à des pots qui flottent sur l’eau,
et s’entre- choquent les-uns aux autres, disait (Goethe) ce qui
exprime assez fidèlement nos rapports.
Réf. Sert..
Bérengère
mercredi avril 04, 2007