L’éclosion des
problèmes d’accommodations était inévitable au Québec
19 août 2007 - La loi sur l’immigration votée et passée en catimini en
1977 par le gouvernement libéral de Pierre Elliot Trudeau pour contrer
le nationalisme québécois permettait à tout nouveau immigrant de garder
sa nationalité (double nationalité).
Ce nouvel immigrant même aujourd’hui dans la documentation du ministère
des Affaires Extérieures, il est mentionné qu’Il peut garder ses
coutumes, sa langue, et, de plus il y a une Charte des Droits pour le
protéger.
C’est remarquable que les immigrants d’avant 1977, il n’y a pas de
problèmes d’intégrations et sont souvent des défenseurs acharnés de
notre manière de vivre et important, ils sont heureux avec nous.
L’arrivée massive de 40 à 50,000 nouveaux immigrants chaque année au
Québec, de couleurs, de religions différentes chatouillent l’ensemble
des québécois surtout à l’extérieur de Montréal qui se sentent envahis
par cette cohorte.
D’ailleurs les québécois francophones qui le peuvent, sortent de
Montréal et déménagent en banlieue dans les ceintures nord et sud pour
retrouver un semblant de tranquillité mais qui sera, s’il n’y a pas de
changements très, très temporaire.
Les québécois ne sont pas xénophobes, au contraire, mais ils veulent des
partenaires, des gens qui partagent avec eux les joies, les problèmes
normaux d’une communauté.
Les nouveaux arrivants doivent comprendre que c’est premièrement à eux
de faire les premiers pas, de gagner notre confiance et embarquer sans
snobisme dans notre galère.
Tant qu’ils garderont l’idée de retourner dans leur pays s’il n’aime pas
ça, ou s’ils ont été leurrés par notre propagande, ils prendront notre
passeport en boni et iront sous d’autres cieux.
Une vraie preuve qu’il n’y a pas d’intégration par les détenteurs de
double nationalité, dans les Forces Canadiennes sur 71, 000 militaires
dans les trois armes, il n’y a seulement 20 détenteurs pour aider leur
nouveau pays.
J. Léopold Hamel
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