Afghanistan, c’était < la misère noire >
25 juillet 2007 - C’est triste, mais les gens ont la mémoire courte. En
2002, l’Afghanistan sous la domination des < talibans > il n’y avait pas
de radio, de musique, de télévision, de théâtre.
Aussi, pas d’électricité, d’eau courante, pour desservir 25 millions
d’habitants. Les femmes, un tchador de la tête au pied, pas le droit au
travail, à l’éducation, mariage forcé, arrangé, de vraies esclaves.
Le fouet était d’usage courant pour les récalcitrants, au stade de
Kaboul, des lapidations, des exécutions sommaires pour terroriser la
population sans procès véritables.
Si, 37 pays de la planète se sont unis pour redonner espoir à cette
population opprimée, le moindre est que nous canadiens, qui sommes dans
l’abondance, dans la liberté, nous devons supporter nos militaires dans
leur mission de libération.
Certes, il y a des imperfections, mais n’oublions pas de 90 % des
Afghans ne veulent pas retourner en arrière. Ils ont besoin de nous,
nous ne les abandonnerons pas!
J. Léopold Hamel |
|
|