Ce soir Il me vient une idée !

LE DENTIER **VOLANT**

Ces hommes de la politique j’espère qu’ils ont bien accroché leurs dentiers pour ne pas avoir à subir l’humiliation qu’un jour, vécu l’un de leur confrère dans sa tournée rurale d’une propagande électorale il y a X année, qui créa tout un émoi!

Une anecdote en ce temps de campagne ne peut que se révéler profitable pour ainsi  enlever un brin de stress dans ces moments aussi intenses… Sans rancune!

Ce pauvre monsieur qui un jour en pleine envolée oratoire, convaincu de ses propos fort intéressants, s’agitait de plus en plus, criant orageusement ses convictions qui selon lui étaient fait en béton pour ainsi convaincre l’auditoire mais pas « apeuprais » jusqu’à, à en  ébranler les bancs!  

Mais lui, oubliant son dentier tout neuf sur lequel il n’avait pas eu le temps de contrôler sa solidité, l’ajustement n’étant pas encore approprié pour une telle tâche aussi criarde!

Il n’en fallu pas plus, pour se sentir trahi par ses propres merveilles!

Une de ces merveilles, celle du haut, la voilà au beau milieu de la foule, de ces gens passionnés écoutant leur orateur favori, lui aussi  convaincu par ses paroles tempétueuses où, il élaboraient ses vérités indéniables!

Elle, très chère, avait oubliée sa vrai nature existante, déguster avec avidité, les affirmations prononcées dans une telle circonstance.  Sourire de manière cordial non condescendante aux propos du Chef et ainsi donner plus de force aux directives du programme préparatoire.  Mais voilà, elle s’est prise de coquetterie et voulu explorer l’entourage. Lui le pauvre, faisant volte-face à toute cette agitation, y laissa la face et son sourire, même son appartenance.  Quand est-il venu de cette terrible tragédie?

Pris de panique, il ne s’en est jamais remis, changea donc d’orientation; se fit moine dans une abbaye où le sourire n’était pas de rigueur. Triste histoire nous ne l’avons plus jamais revu!

Les mémoires ne disent pas, si le cartel, lui paya une nouvelle prothèse ?

Si je me souviens bien, le discours était axé sur l’économie du programme, et de l’importance pour chaque individu de ne pas dépenser au delà de ses moyens!.

PENSÉE : Politiciens….L’instruction sans éducation est un torrent sans digue, L’éducation sans religion, un foyer sans feu .Augustin Cochin.

Bérengère
lundi mars 12, 2007

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