Ce
soir Il me vient une idée !
D'où je viens ce que je deviens
Génétiquement parlant pour certains, leur conception de vie, de pensée,
de race, de descendance, d’ascendance, rien n’arrive à les rendre heureux, ne les
transporte nulle part; stagnant dans leurs accablements d’insatisfactions
insaisissables, indéchiffrables et, de leur obscure vie, ne réussissent pas à se sortir
de cette mollesse. L’humanité pour eux est un océan de misère.
Regardez-les à la T. V.
chantant leurs chansons d’amour comme des enragés, d’où émerge, notes aigus et graves,
et que s’entremêlent, mots d’amours et désespoirs. Mais eux croyant pouvoir se sortirent
d’une telle désolation par ces paroles amoureuses et pleines de tendresses sur
lesquelles eux-mêmes doutent de leurs conséquences, voilà que tout s’entre-déchire dans
leurs pensées, qui les poussent à cet apathie, ces blessés du monde moderne.
Ce siècle est victime de carence en tout. **La maladie de la carence** Non pas la
carence en vitamines, mais bien de l’amour, que cette toxique provoque, (la complexité.)
c.à d. refoulement, dépendance affective, ect. . Si nous y regardions de plus près,
histoire de ne pas tomber dans l’inertie, du laisser aller, ou du laisser tomber.
Ce peut-être redondant (superflu) de soulever une si grande hypothèse! Comment me
projeter dans cette embranchement, cette figuration de ce *d’où Je viens* et de ce que
Je….* pour en arriver à mieux comprendre ce concept. Prenons plaisir ensemble, à
décortiquer tout ceci dans nos propres mots à nous, je crois que ce serait bien.
Sommes-nous à la recherche d’une identité, ou d’une volonté de mieux se connaître
d’abord, pour mieux réussir sa vie ensuite? Sûrement.
Il est normal que l’homme se pose des questions puisqu’il est animé par un corps, d’une
intelligence, et d’une volonté; à nous, de s’en servir, d’en prendre soin, pour que
cette recherche, tourne à notre plus grand avantage.
C’est que consciemment ou inconsciemment elle nous intéresse et nous fascine.
Un matin perdue dans mes pensées je me suis surprise à demander à mon créateur..Qu’est-ce
que l’homme pour que tu en fasses tant d’estimes? Je sais que Tes mains l’on formé, l’on
façonné; Il est Ton chef-d’œuvre! J’ai su aussi que Tu vêtis de peau Adam et Ève en
exil, et que tu nous a fait de tissus de mots et de notions pour vêtir notre
intelligence en exil .Réf. J.P
Il n’est pas amoral ce désir de vouloir connaître ses origines, sa provenance, c’est
très naturel. Certains souffrent beaucoup de ce vide d’appartenance, moi je dis,
mon dieu mon dieu.! . Cessons de croire que les conditions des autres sont
meilleurs que les nôtres! Elles ont tout autant que nous leurs contraintes.
Combien souffrent de leur intelligence précaire? Devrions-nous tous, nous tuer pour çà?
Nous sommes dotés de multiples talents qui n’attendent qu’à se
développer, croître en nous!
Il y a, le maçon, l’ébéniste, l’agriculteur, le lettreur, l’inventeur, le pianiste, et
combien d’autres!.
Dans un tout autre ordre …L’amabilité, le sourire, la générosité, l’accueil, le service
vis-à-vis des autres ect.
Alors, qu’est ce que j’fais (bis). Exister ou Mourir…c’est vrai que c’est bien plus
simple, on tue l’effort comme ça.
Cesser de se plaindre d’abord, et ouvrez tout grand l’esprit; homme de peu de foi!
L’intérêt que l’on se porte, est honnête et humain. Vouloir assortir nos capacités à nos
connaissances, soit pour suivre un rêve, un idéal selon nos goûts, nos attirances
personnelle, n’est pas se créer une image mais bien se donner un projet de vie, et
surtout vouloir par le travail se mériter le respect de soi, et des autres, et cet amour
propre c. à. d .de fierté-, en un sens, est digne de la plus haute dignité de l’homme.!
J’aime prendre pour exemple une petite fourmi, si minuscule, portant deux fois le poids
de son corps, chaque minute le danger la guette, de sa vaillance elle en fait une
prière, une promesse de courage, pour le plus grand bien de sa colonie, là est sa
fierté. S’apitoyer oh non! Le temps est trop court. Elle sait qu’elle a pour soutien son
créateur.
Elle ne se préoccupe pas de savoir, d’où elle vient, mais elle sait, ce qu’elle est
devenue, une ouvrière. Si elle a compris, serions-nous moins, que ce tout petit insecte?
Nous si grands si Forts? Action, Réaction!
Nous savons tous que notre plus grand ennemi, c’est nous-mêmes!
Ce d'où je viens, ou ce que je deviens : lequel prendra le plus d’importance pour vous
dans l’avenir?
A chacun d’y répondre.
Pensée : A vaincre sans péril. On triomphe sans gloire. Racine
Bérengère
dimanche septembre 23, 2018
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