dimanche 21 novembre 2010
Le président
du PQ, à la rescousse de son
député?
Afin de compenser pour l’absence
de son député dans le comté,
Monsieur Fafard a jugé bon de
répondre à ma lettre ouverte et,
encore une fois, son
organisation politique ne prend
pas connaissance de tous les
éléments avant de prendre
position. Je vous invite donc à
lire au complet ou relire mon
opinion du 18 novembre. Vous
constaterez que je défends, oui
le Premier ministre du Québec
mais aussi l’intégrité et les
nobles intentions de personnes
qui s’impliquent politiquement
quelque soit le degré
d’implication ou le niveau,
municipal, provincial, ou
autres.
La position que j’ai exprimée
sur l’enquête publique allait
dans la nécessité de régulariser
la situation et tout comme vous
sur la nécessité que cela
arrête. Ce que nous voulons
éviter c’est de mettre de
l’avant une solution qui coûtera
des millions de dollars aux
contribuables québécois et qu’il
faut laisser les autorités
policières s’occuper des gestes
punissables.
Nous savons tous que depuis
2003, votre rôle d’opposition
vous oblige à critiquer tous les
gestes du gouvernement actuel et
que bien sûr, les réussites ne
peuvent que nuire à votre
organisation politique. Je me
permettais de rappeler
l’efficacité économique du
gouvernement du Québec. De par
ses investissements en
infrastructures, de par ses
différentes ententes avec les
centrales syndicales, de par de
multiples programmes dont
plusieurs municipalités et
entreprises du comté ont
profité, de par le fait que le
Québec se sort de la crise
beaucoup mieux que plusieurs
autres provinces canadiennes et
que les Etats-Unis, de par le
fait que non seulement le Québec
a retrouvé l’ensemble des
emplois perdus durant la crise
mais que 20 pourcent de plus ont
été créés et par l’aide aux
familles permettant un taux de
natalité des plus élevés ce,
depuis des dizaines d’années.
Non seulement, Monsieur Fafard,
ma carrière politique ne se
terminera pas comme vous le
prédisiez car j’ai bien
l’intention de continuer à
donner aux citoyens ce qu’ils
sont en droits de s’attendre.
Christian
Cournoyer
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