LA VIE POUR CE QU’ELLE………
Oui, on ne doit
jamais cesser d’aimer la vie
pour ce qu’elle nous donne. Que nous nous
lancions dans la folie ou le
tarabuster, (contrariété) rien
ne changera ce que nous sommes,
serons, ou serions, car toujours
la réalité sera là pour nous le
rappeler et aussi nous ramener à
ce qui nous identifie le mieux
dans nos amours, nos désirs, nos
rêves les plus fous. Que vaux ces
dénoncés….jouer avec la vie,
prendre la vie en riant, les
souffrances de la vie,
l’accomplissement, ect. ect.
Quand sera t-ils de ces thèmes
employés sur le déclin de nos
vies pour chacun? Parce que
nous savons bien qu’un jour tous
nous finirons pour faire face à
ce passage momentané de cette
existence humaine et de son
extinction. Là est la dure
réalité!
Si nous y
regardions de plus près. Il est là le
miracle, soyons des esprits de
feu, toujours à la recherche de
cette vie, où on y boira à
cette source jusqu’à s’en
étouffer, à y croquer à belles
dents dans cette fécondation
pour s’en accaparer dans toute
notre chair, tout en s’adaptant
à ce qui charme. Enchante et
ravivent en nous les rêves, tout
ce qui embrase, rend suave et
sublime! Vivre de beauté,
exister pour vivre! Rien ne
doit éteindre cet effluve
d’ardeur, nourriture du cœur et
de l’esprit.
Ne laissez ni la
tristesse ni la détresse vous
envahir. J’aime bien ce
Gibran dans le Prophète; quand
il analyse joie et tristesse. La joie est plus
grande que la tristesse.
D’autres disent ,non la
tristesse est plus grande* Moi je vous dis
qu’elles sont inséparables,
Regardez bien en votre cœur, que
ce qui vous apporte la joie
n’est autre que ce qui vous
donne la tristesse.
Rappelez-vous que l’un ne va pas
sans l’autre. Quand l’un vient
l’autre dort.
Restez fort dans
l’adversité quand la malchance
se présente. Être fort,
vaincre ses peurs deux noms
communs, mais si on y prend
garde peuvent être périlleux
l’un comme l’autre. Être fort c’est
de la robustesse peut-être un
danger dans l’attrait que
représente ce corps, L’attrait
souvent a sa faiblesse (
l’orgueil* La peur par
contre sonne l’alarme, sonne la
fuite, au lieu de l’audace et le
courage. Elle peut sembler de la
lâcheté (pas toujours) Pour
certains la peur saisit met en
transe celui ou celle qui la
subit peut la clouer au sol,
rien n’y fait ni fera pour la
bouger l’hypnose totale!
Tout au long de
notre vie on se doit d’être
prudent réfléchie; deux forces
majeures pour notre survie,
notre bien-être, notre sécurité,
La vie est un don un bienfait
que l’on se doit de protéger
pour notre plus grand bonheur et
enchantement.
*Qui ne
reconnaît pas la vie, ne
reconnaît pas son créateur*
PENSÉE; On ne
nous a pas donné une vie courte,
c’est nous qui la rendons belle.
Sén.
Bérengère
jeudi 06 octobre 2011
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