jeudi 12 mars 2015
PKP, à
Trois-Rivières, un futur chef
d'État
par Robert
Barberis-Gervais
Bernard
Drainville a dit: «Pierre Karl,
tu ne réponds pas à ma
question.»
Gilles Gougeon a répliqué: «Ce
sont les questions des citoyens
qui sont importantes ici.» Et
vlan dans les dents de Bernard
Drainville.
A Pierre Céré: Dixit PKP,«
Québécor n'est jamais allé dans
les paradis fiscaux.» Céré,
arrête de répéter les sornettes
d'Amir Khadir. Revois ta praxis.
Arrête de niaiser. Ou comme
dirait mon père: arrête de faire
ton smatte.
Martine Ouellet, laisse Pierre
Dubuc faire la job de bras.
Messieurs les candidats et
madame la candidate, un conseil
d'ami pour les prochains débats.
Mettez de côté: «Moi j'ai une
question pour PKP» et le
commentaire: «Pierre Karl, tu
n'as pas répondu à ma question».
En passant, PKP a dit que les
libéraux sont en train de
paqueter de libéraux le Conseil
d'administration d'Hydro-Québec.
Philippe Couillard et Jean
Charest, c'est du pareil au
même.
Entendu à 24/60 d'un
commentateur: «PKP faisait chef
d'Etat.»
Ça dit tout et ça résume mes
impressions du premier débat.
Avec PKP, nous sommes dans une
autre catégorie. Quelle chance
nous avons enfin.
Il s'est dit beaucoup de choses
vraies pendant ce débat sur les
inconvénients de rester dans le
Canada et sur les avantages d'en
sortir. Là-dessus les cinq
candidats se complétaient bien
et formaient équipe.
Robert Barberis-Gervais,
Vieux-Longueuil,
jeudi 12 mars 2015
barberis@videotron.ca
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