CE SOIR IL ME VIENT UNE IDÉE Hommage aux « Mamans » Quand une maman peut dire à son fils ou à sa grande fille, qu’il est son être le plus chéri au monde, l’âme vivante de sa famille, son support dans le cheminement difficile d’une fin de vie, au delà de l’éternité, elle commandera à ses étoiles de déposer un regard d’amour infini, sur celui ou celle qui fut pour elle l’un de ses plus beaux joyaux! Pas un enfant sur terre ne saurait être insensible devant un tel éloge venu de celle pour qui, il a tant de vénération. Pour une mère, ces mots ne devraient jamais être difficile à dire, car se sont ceux d’une maman aimante, qu’elle richesse pour elle, que de tels enfants existent. Cette
fête des mères est l’occasion pour se faire dire MERCI! Mais laissons à cette journée le sceau d’une gratitude réciproque. Mère enfant, enfant mère, ne doivent faire qu’un, pour ainsi témoigner du grand rôle de ce que doit être le devoir, la responsabilité l’un envers l’autre. Être mère ne sera jamais facile, ni dans dix ans ni dans vingt ans, car il nous faudra toujours trouver le courage de dire non aux enfants, à l’époux, aux amis, quand des questions de principes surgiront. Être le guide moral, qu’elle charge pour nous les mères! Soyons des phares qui éclairent dans la nuit lorsque nos petits nagent en eau trouble. Et ce n’est pas de tout accepter à leurs demandes qui les feront nous aimer plus. À vous toutes petites mamans, qui avez par votre droiture, vos sacrifices, mener à bon port, cette mission à laquelle vous vous êtes engagée, que cette journée qui vous est destinée, soit des plus réconfortantes, chaleureuse. Le cœur des mères parle un langage universel, il s’exprime par un moyen identique à toutes les nations, c. à. d. par le dévouement. Que d’exemples d’héroïsme, sont venus de l’amour maternel! Oui, c’est vrai, cette journée doit être une OPPORTUNITÉ de témoigner à celle qui fut notre amie, = un peu d’amour = et de = reconnaissance.= Pensée : Il y a bien des merveilles dans l’univers, mais le chef-d’œuvre de la création, est encore le cœur d’une mère. ( Bertaut.) BÉRENGÈRE dimanche 05 mai 2002
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