vendredi 12 avril 2013
L’envol
possible des Éperviers à
Sorel-Tracy dès septembre 2013…
La décision est entre les
mains du commissaire Courteau
Le SorelTracy Magazine vient
de recevoir un communiqué qui va
mettre les choses au clair une
bonne fois pour toute.
Après les vérifications des
sources, qui sont Gaston
Therrien et Yanick Lévesque,
respectivement copropriétaire et
coordonateur du GROUPE PROMOTEUR
ÉPERVIERS SOREL-TRACY, il est
dit ce qui suit :
Le groupe
promoteur pour l’accueil d’une
équipe de hockey junior majeur
du Québec bénéficie du support
de la Ville, des élus et de sa
population pour être fins prêts
dès septembre 2013. Pour les
actionnaires François
Beauchemin, Marc-André Fleury,
Marc Denis et leurs associés
locaux, les exigences demandées
par la ligue ont été respectées
et nous sommes prêts à investir
dans la relève avec toute la
passion qui nous anime.
D’ailleurs c’est à l’unanimité
que la Ville de Sorel-Tracy a
annoncé en février dernier
qu’elle comptait investir 2,4 M$
pour la modernisation de ses
infrastructures afin de
rencontrer toutes les exigences
de la LHJMQ. « Il faut
dire que la culture du hockey à
Sorel-Tracy est bien vivante tel
que le démontre notre récente
étude de marché, » souligne
Gaston Therrien, porte-parole du
groupe promoteur. Des Mondou,
Larouche, Bourque et plusieurs
autres grands noms du hockey ont
marqué notre histoire, soutien
Yanick Lévesque, coordonnateur
du projet.
Bref, la région de Sorel-Tracy
et le groupe promoteur sont
prêts à passer à l’action! «
La question est de savoir si la
ligue de hockey junior majeur du
Québec veut faire équipe avec
nous. La décision ultime repose
entre les mains du commissaire
Courteau. Quoi qu’il en soi,
tout est en place pour
enclencher les démarches
nécessaires advenant une
collaboration possible avec la
LHJMQ, » déclare Gaston
Therrien.
« Un envol possible des
Éperviers en septembre 2013 dans
la ville qui l’a vu grandir?
Chose certaine, nous espérons
une réponse positive pour son
retour au Colisée Cardin, où son
esprit plane encore en coulisse,
» de conclure fièrement M.
Lévesque.
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