Football Polypus
Les Cadets terminent en tête

25 mai 2003- Les Polypus cadets de l'ESFL ont rencontré, vendredi soir dernier au terrain de l'ESFL, les Panthères de la polyvalente Jeanne-Mance de Drummondville afin de déterminer laquelle de ces deux équipes, invaincu jusqu'ici, terminerait en haut du pavé, de cette courte saison de football printanier, de la ligue de football scolaire des Cantons de l'Est cadets.

Les Polypus ont remporté ce match au compte de 16 à 0.  Mais attention, ce ne fut pas une sinécure pour l'équipe soreloise puisque les jeunes de Harold Turbide ont dû redoubler d'ardeur pour aller chercher la victoire dans ce match.  L'équipe de Jeanne-Mance a offert une grande résistance aux Polypus et c'est probablement encore la puissante défensive des Sorelois qui a donné les résultats escomptés puisque les 16 points des Polypus, furent gagné à la sueur de leur front.

Jeanne-Mance a présenté une équipe d'à peu près de même gabarit et de puissance que celle de Sorel.  Après le premier quart, c'était toujours 0 à 0.  Puis, les Polypus ont connu un excellent 2e quart, ce qui leur a permis de gagner ce match, au cours de ce quart, en marquant les 16 points nécessaires à cette victoire.  Ensuite, au cours du 3e et 4e quart le jeu est resté bien au centre du terrain, et d'un côté comme de l'autre on avait peine à gagner du terrain.  Malgré tout, les Polypus ont tenu bon et ont été consacrés champion de la saison régulière printanière 2003.

Les marqueurs pour ce match, Pierre-Olivier Montplaisir et Adam Leblanc-Bourque ont obtenu les touchés. Philippe Paulhus a commencé le match, à son poste de quart arrière, mais c'est Xavier Fournier-Morissette qui a terminé la rencontre.

« On s'attendait à un match serré et on a eu affaire à la défensive la plus coriace devant nous cette saison.  Mais une chose que nous sommes très fiers, c'est que nous avons fait jouer tout le monde ce soir.  Défensivement, on a joué tout un match, surtout en réalisant 6 interceptions, mais notre défensive a été super durant tout le printemps. », commentait Harold Turbide, l'entraîneur chef.

Jean Doyon