Les Polypus Juvénile toujours aussi dominants

Autre gain par jeu blanc : 45-0 contre La Tuque
Les Polypus Juvénile toujours aussi dominants

Patrick Turgeon

Les Polypus Juvénile de l'école secondaire Fernand-Lefebvre de Sorel-Tracy ont poursuivi leur nette domination sur le terrain, vendredi soir, au terrain de l'ESFL, bafouant La Tuque 45-0.

Avec cette victoire, les protégés d'Harold Turbide ont maintenant une fiche de six gains et un seul revers et viennent au deuxième rang de la Ligue de football Juvénile scolaire. Au plan collectif, l'équipe possède la meilleure offensive du circuit avec 329 points comptés et la meilleure défensive, n'ayant concédé que 19 points à l'adversaire en sept matchs. "Nous sommes dominants depuis plusieurs semaines, mais j'ai très hâte d'affronter une équipe qui pourra nous donner une vraie opposition. Surtout que les séries approchent à grands pas. Nous devons être prêts pour vaincre les meilleures équipes", a précisé le coach Turbide.

Revenant sur le match de vendredi soir, l'entraîneur des Polypus a souligné les performances de Gabriel Péloquin et Julien Lessard. Le premier a réussi une intersection qui a mené à l'un des touchés de l'équipe. Quant au second, il a effectué trois réceptions pour un total de 90 verges en plus d'inscrire un majeur. "Ces deux joueurs ont connu un excellent match, tout comme la majorité de leurs coéquipiers. Les joueurs conservent une bonne attitude de travail malgré le peu d'opposition reçue depuis quelques semaines. C'est à chacun des joueurs d'évoluer avec sérieux chaque fois qu'ils sautent sur le terrain".

Victoire des Benjamins
Pendant ce temps, les Polypus Benjamin ont causé toute une surprise, dimanche après-midi, à Ville La Salle, disposant de la formation locale par la marque de 34-20. Cette même équipe avait bafoué Sorel-Tracy par une grande marge de points en début de saison. Cette importante victoire permet donc aux Polypus de passer en demi-finale provinciale de la classe B de la Ligue Pee-Wee AAA du Québec. La rencontre est prévue ce week-end. Au moment de mettre sous presse, l'adversaire était toujours inconnu de même que la date de la joute.