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Mercredi 25 septembre, 2024
Une bagarre à l’ESBG mène à l’arrestation de 5 adolescents
(Stéphane Martin, 25 septembre 2024) – Un adolescent a été blessé à la tête lors d’une bagarre qui a éclaté, lundi midi, à l’École secondaire Bernard-Gariépy (ESBG). Saisie du dossier, la Sûreté du Québec a procédé à des arrestations.
« L’événement s’est produit sur l’heure du dîner à l’extérieur de l’établissement, sur le terrain de l’école secondaire. C’est un groupe de jeunes qui s’en est pris à un adolescent. Ce dernier a été blessé lors des événements et a été transporté au centre hospitalier pour y soigner des blessures à la tête qui ne mettent pas sa vie en danger », rapporte la porte-parole de la Sûreté du Québec, la sergente Marythé Bolduc.
« La Sûreté du Québec a procédé à l’arrestation de 5 adolescents âgés entre 15 et 16 ans pour voies de fait causant des lésions. Ils ont été rencontrés, puis libérés pour la suite des procédures », ajoute la porte-parole.
Contrairement à certaines rumeurs qui circulent, les élèves impliqués n’avaient aucune arme ni aucun objet dangereux en leur possession, nous assure-t-on.
La direction du Centre de services scolaire de Sorel-Tracy a accepté de commenter la situation, tout en respectant ses obligations de confidentialités dans le dossier. « La situation a été immédiatement prise en charge par l’équipe-école. Aucune violence n’est tolérée dans nos établissements. Toutes les interventions requises ont été faites auprès des personnes concernées (sanctions, suivis, etc.). De plus, les intervenants de l’école ont procédé à une tournée des classes afin de rassurer et de sensibiliser les élèves. Les intervenants de l’école sont et demeurent disponibles pour accompagner les élèves en tout temps s’ils en ressentent le besoin », commente la directrice des communications du Centre de services scolaire de Sorel-Tracy, Laurence Cournoyer.
« Le Centre de services scolaire a la sécurité des élèves à cœur et tout est mis en place afin d’éviter des gestes de cette nature, notamment par une surveillance accrue à proximité de l’école », de conclure, Madame Cournoyer.