Ô bonheur…

Les recherches et statistiques concernant les indices de bonheur font preuve de résultats étonnants. Les pays qui remportent la palme font preuve d’une grande solidarité sociale, de travail coopératif et d’une simplification des sources de plaisir et de divertissement.

Certes, l’inflation galopante motive des changements de cap. Il n’en demeure pas moins que l’indice de bonheur est réel: allègement financier, crédit moins lourd, projets plus humbles réalisables à plus court terme, covoiturage, jardins communautaires, échanges avec les producteurs agricoles, aménagements accrus d’îlots de verdure et de parcs.

La gestion intelligente du bien-être commun ne peut que rejaillir positivement sur la condition individuelle et familiale.

La vie est plus grande que la poursuite obsessive d’acquisitions et de domination.  Être de ce monde est un privilège qui demande un grand respect de soi-même et des autres.

“ Le paradoxe de la condition humaine, c’est qu’on ne peut devenir soi-même que sous l’influence des autres.” Boris Cyrulnik, philosophe et pédagogue.

J’ajouterais que par la suite, à force de vivre, on peut apprendre à penser par soi-même.  De ce point de vue émergent les réflexions créatrices et novatrices.

QUAND LA RÉSILIENCE BAT DE L’AILE…

C’est qu’il est temps de déployer un mécanisme de défense.

On est résilient de tempérament.

Pour sauvegarder la bonne entente avec des personnes susceptibles, pour éviter les frictions avec des personnalités plus rudes, dans des situations éprouvantes.

Mais à la longue, le vent peut tourner et le fardeau nous peser, a fortiori si on cherche constamment à s’adapter à ce qui ne concorde pas avec nos valeurs profondes.

Le signal devient clair: Puisqu’on ne plaît jamais à tous, mieux vaut mécontenter certains et être plus serein.